L’intestin de conservation

Dans les pays occidentaux, un homme sur deux souffre ou a souffert d’hémorroïdes. La cause essentielle est due à une poussée trop importante lors la défécation… (poil aux morpions).

De nombreuses études dans le monde démontrent que nos toilettes modernes ne sont pas adaptées à une évacuation rapide et complète des fèces (poil aux fesses). D’où constipation, d’où effort prolongé au petit coin, d’où dilatation des veines de la zone anale. Et voilà ! douleurs, irritations, saignement…

Qu’est ce qu’on peut faire ? Tout d’abord, il est médicalement prouvé que la meilleure posture est la position accroupie (poil au zizi) qui permet de vider rapidement et complètement le colon. Comme Lépicurien vous l’a rapporté dans un article, du temps de la Palatine, tout le monde était en position accroupie. De nos jours, la grande majorité de l’humanité utilise des w.c à la turque ou s’abandonne dans la nature…

plateforme pour cuvette

C’est donc bien un problème de pays riches. Les Japonais  se sont penchés, si j’ose dire sur le problème et proposent des cuvettes adaptées à diverses positions. Quant aux Américains, le mal s’aggrave. En effet, au fur et à mesure qu’ils grossissent, gavés aux sodas et nefaste-food, ils demandent à avoir des cuvettes de plus en plus hautes pour pouvoir facilement se relever… (poil au nez).

Des médecins ont tiré la (chasse) sonnette d’alarme et conseillent de revenir à la position accroupie. Mais comment faire ? On ne va quand même pas casser toutes les cuvettes. Certains ont essayé de monter en équilibre sur la lunette, mais une glissade est toujours possible : risque minimum de salissures, marques désagréables sur les chaussures, pantalon ou les collants, et même d’entorses de la cheville.

Heureusement une société propose la solution : la plateforme pour transformer votre cuvette occidentale en wc à la turque (voir illustration à gauche). Nous sommes sauvés. Un inconvénient quand même : fini la lecture tranquille aux toilettes.

Vive le progrès.

Mona pas de caca-bane au fond du jardin. Laurent Gerra, oui.

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