Au diable, la varice…

L’avarice est un des sept péchés capitaux. Ce travers prive la personne concernée et son entourage de beaucoup de plaisirs de la vie. Il n’est que de relire l’Avare de Molière. Mais j’aime ces deux brèves vaches.

Le poète Scarron fit cette épitaphe pour une de ses parentes dont l’avarice était des plus sordides:

Ci-gît qui tant aimait à prendre,
Et qui l’avait si bien appris,
Qu’elle aima mieux mourir que rendre
Un lavement qu’elle avait pris.

Un autre poète composa ce quatrain pour une de ses tantes qui avait le même défaut:

Par testament dame Denise,
Quoiqu’elle possédât un ample revenu,
Ordonna que son corps fût inhumé tout nu,
Pour épargner une chemise.

Mona, vous savez que je ne suis pas pingre. Aussi, si vous sortez deux verres, je vous invite à déguster un Chinon 2009 du Domaine de la Morandière. Un vin … généreux !!

1 pensée sur “Au diable, la varice…”

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