Un texte sans queue ni tête ?

mona-douche

Les accidents ménagers sont une des causes principales de graves blessures et même de décès notamment chez les jeunes enfants. On pense généralement à la casserole d’eau bouillante qui se renverse, aux produits chimiques ingurgitées… mais on évoque rarement les accidents de braguette. Et pourtant ! Rien qu’aux Etats-Unis, ce sont 17.616 hommes qui se sont coincés roubignoles ou fifre à moustache dans la fermeture éclair de leur falzar.  On imagine la douleur provoquée qui se termine plus souvent qu’on ne le pense par une intervention chirurgicale pour permettre à Popaul de retrouver sa liberté. Selon Herman Singh Bagga, chercheur en urologie à San Francisco, sortir sa flèche du carquois à glissière est aussi dangereux que de traverser la piste lors du départ d’un Grand Prix de Formule 1 ; même la selle de vélo est plus docile et égratigne moins le bec verseur ; vous dire !

J’attire l’attention des mamans qui sont fières de voir leur lardon gâter de l’eau en posant leur asticot de compétition sur la cuvette des wc. Figurez vous que c’est le moment le plus risqué pour leur appendice queutal car il arrive que la lunette des toilettes retombe brusquement écrasant le vermicelle de contrebande de votre bambin ce qui peut causer des blessures graves et définitives.

Alors les aminches, quelques conseils pour vous : portez un slibard dans votre Levis et choisissez le modèle à boutons. En effet, ceux qui sont mal équipés pourront sortir leur petit oiseau directement par la boutonnière et les autres glisseront leur gourdin hors de l’étui sans risque et sans reproche ; quant à vos têtards, tenez leur le couvercle pendant qu’ils se soulagent la vessie, çà leur évitera d’avoir la chipolata plate comme une galette bretonne au beurre salé.

Bon, Mona, voilà des conseils de première bourre. Bon, ça doit pas nous empêcher de boire un coup. Le Domaine des Amphores produit un joli vin blanc bio 2011 en appellation Saint-Joseph. Le cépage roussane y exprime des arômes de fruits exotiques et de pêche.

1 pensée sur “Un texte sans queue ni tête ?”

  1. Texte sans queue ni tête, Mona dont j’apprécie la lubricité du regard que vous tâchez de rendre serein, sans queue mais…avec Quéquette…tranglée ! Horreur glauque qu’un pénis captivus !

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *