Aut bibas aut abeas (Bois ou va-t’en)

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Nombre de journaux ont titré que le pays qui consomme le plus de vin par habitant est le Vatican. Chiffres à l’appui fournis par Bonial. En consommant 73.8 litres, ce micro état pulvérise ses poursuivants. La France est loin derrière avec 44.2 litres, suivie de la Slovénie avec 43.3 litres et la Croatie 42.6 litres. L’étude rappelle que la France boit de moins en moins de vin. Ainsi en 1975, c’était un hectolitre que chaque Français ingurgitait. Cette baisse importante est une bonne chose aux yeux de nos responsables politiques et médicaux. Certes, cependant ces études portant sur un seul breuvage oublient que si la consommation de vin baisse, nous sommes les champions pour divers alcools forts comme le whisky. Nous sommes champions du monde sur cet alcool venu d’Ecosse. Mais curieusement les campagnes anti-alcool présentent le plus souvent un verre de vin bu au comptoir. Curieux ce besoin irrépressible de se tirer une balle dans le pied !

Mais revenons aux gros titres de la presse : le Vatican est le plus gros consommateur de vins au monde et les journalistes de souligner que cela peut s’expliquer par sa démographie particulière : des hommes âgés sans enfants. C’est vrai, les religieux au Vatican passent leur temps à picoler…On les voit tituber place Saint-Pierre à toute heure du jour et de la nuit.

Certains journalistes soulignent également que les vins ne sont pas taxés au Saint Siège et se demandent si cela n’inciterait pas à boire. Enfin, certains évoquent la consommation de vin pour la messe mais en affirmant immédiatement que cela ne peut expliquer cette surconsommation.

Bon, tout cela montre un travail journalistique bâclé. Dans l’étude de Bonial le Vatican n’apparait pas dans les classements. Le site l’a exclu de ses classements pour des raisons techniques et de pertinence des données. Mais un gros titre ça fait vendre du papier, ça attire l’attention. Il suffit de savoir qu’au Vatican, les employés et retraités ont à disposition un supermarché sans taxe pour comprendre qu’ils ravitaillent famille et amis en vin. De même, à ma connaissance, aucune étude ne fait ressortir la part de vins achetés en France qui part dans un avion, un train, une voiture comme souvenir d’un séjour au pays des grands vins. Pour ma part, je suis persuadé que nous perdrions notre première place de buveurs de vin. Par contre, des études tendent à prouver que nous resterons champions pour les whiskies.

Mona, malgré une consommation du breuvage divin en baisse régulière, il reste de vrais amateurs dont vous êtes. Aussi, c’est un plaisir de vous inviter à boire ce Saumur-Champigny Les Rogelins 1997 du Domaine Legrand. Un vin qui n’a pas pris une ride. Une couleur de jeune homme mais une bouche gourmande avec finesse et puissance en même temps. Du bel ouvrage pour une bouteille qui peut encore braver les ans.

Rabbit-e

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Il y a quelques jours une femme accouchait après avoir subi une greffe d’utérus. Encore un exploit de la chirurgie. Depuis plusieurs années, une équipe travaille sur la greffe de zigounette. Dès 2008, ces scientifiques ont implanté un pénis transgénique sur une douzaine de lapins. Les résultats sont probants puisque huit lapins ont pu s’accoupler et quatre d’entre eux ont même eu des petits.

Fort de succès l’équipe travaille sur l’homme. Bien sûr, on n’en est pas encore à la transplantation qui ne devrait intervenir au mieux que d’ici cinq années, mais une avancée considérable vient de se produire. Les chercheurs ont réussi à remplacer une grande partie des cellules du donneur par des cellules du receveur développées en laboratoire et ainsi réduire sensiblement le phénomène de rejet.

Or cette zone du corps emplie de nerfs, vaisseaux est ultra sensible et puis les facteurs psychologiques sont importants. Le premier greffé du poireau à pépère en 2005 avait demandé peu après à ce qu’on lui enlève le greffon n’arrivant pas à gérer cet intrus arrivé dans son calbute.

Je suis admirative. Néanmoins, j’espère que les gars qui recevront un appareil à distribuer de l’affection n’auront pas le comportement des lapins car si ces bêtes se reproduisent à la vitesse de l’éclair, ils n’ont pas une réputation de mâle donnant plaisir.

Mona pas envie de lapin ni en cuisine ni au lit…

No comète

Comète 67P, j'aurais préféré 69...
Comète 67P, j’aurais préféré 69…

Avouez que ça surprend quand vous lisez dans la presse que Rosina sent l’œuf pourri, l’écurie, la sueur de cheval et le vinaigre. Mais qui c’est cette nana qui dégage une telle odeur. A-t-elle des problèmes de santé ? Et ce prénom dérivé de Rose de Lima quel visage nous annonce-t-il ?

Bref, un titre qui ne ma laissa pas de marbre. Je plongeais tel un rapace sur sa proie pour assouvir mon envie d’en savoir plus sur cette fille puante.

Que nenni, dès les premières lignes je compris que le journaliste m’avait embarquée sur une fausse piste. En fait Rosina est le nez de Rosetta, sonde européenne qui a été lancée le 2 mars 2004 avec pour mission d’analyser la comète 67P/Churyoumov-Gerassimenko. Et ça fait dix ans que ça dure… Chapeau aux scientifiques européens.

Bon, ok, mais qu’est ce qui pue ?

Figurez-vous que la comète et sa chevelure est une grosse boule de neige sale. Elle est composée de monoxyde et dioxyde de carbone, d’ammoniaque, de méthane et de méthanol. Ce mélange nous fait un petit cocktail qui sent comme un ivrogne qui pioncerait dans une étable pleine de bovins ruminants et bousant à loisir. Ça donne envie d’aller y faire un tour, non ?

Ma chère Mona, vous qui portez rien d’autre qu’un peu d’essence de Guerlain pour qu’éclate votre beauté, vous êtes à des années lumière de 67P et c’est tant mieux. Bon allez revenons sur terre pour déguster le Bourgogne 2009 du Domaine Mugneret-Gibourg. Un simple Bourgogne de ce niveau là révèle la qualité de ce domaine. Bravo Mesdames !

Assise sur mon gagne-pain

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Comme beaucoup de jeunes femmes, j’ai pleuré en lisant la Dame aux camélias. Le texte d’Alexandre Dumas fils fut, est et restera une des lectures les plus prisées de la gente féminine. Ce roman de 1848 relate l’amour d’un jeune bourgeois pour une courtisane. Le succès fut tel qu’Alexandre en fit en 1852 une pièce de théâtre qui remporta un énorme triomphe. Dans la préface, l’auteur nous livre qui se cache derrière son personnage principal :

La personne qui m’a servi de modèle pour l’héroïne de la Dame aux camélias se nommait Alphonsine Plessis, dont elle avait composé le nom plus euphonique et plus relevé de Marie Duplessis. Elle était grande, très mince, noire de cheveux, rose et blanche de visage. Elle avait la tête petite, de longs yeux d’émail comme une Japonaise, mais vifs et fins, les lèvres du rouge des cerises, les plus belles dents du monde; on eut dit une figurine de Saxe. En 1844, lorsque je la vis pour la première fois, elle s’épanouissait dans toute son opulence te sa beauté. Elle mourut en 1847, d’une maladie de poitrine, à l’âge de vingt-trois ans.
Elle fut une des dernières et des seules courtisanes qui eurent du cœur. C’est sans doute pour ce motif qu’elle est morte si jeune. Elle ne manquait ni d’esprit, ni de désintéressement. Elle a fini pauvre dans un appartement somptueux, saisi par ses créanciers. Elle possédait une distinction native, s’habillait avec goût, marchait avec grâce, presque avec noblesse. On la prenait quelquefois pour une femme du monde. Aujourd’hui, on s’y tromperait continuellement. Elle avait été fille de ferme. Théophile Gautier lui consacra quelques lignes d’oraison funèbre, à travers lesquelles on voyait s’évaporer dans le bleu cette aimable petite âme qui devait, comme quelques autres, immortaliser le péché d’amour.

Alexandre Dumas a fait de cette courtisane une icône de l’amour désintéressé. Mais la réalité de l’époque est bien différente.

Revenons à Marie Duplessis. Son père la vend alors qu’elle a 14 ans à un septuagénaire débauché. Montée à la capitale, elle fut ouvrière et pour augmenter son maigre revenu, elle devint grisette. Ce terme trouve son origine dans la couleur de la robe que portaient les femmes travaillant dans la couture et qui offraient leurs charmes au sortir des ateliers. Fort belle elle grimpa dans la hiérarchie en devenant lorette. Ce statut lui permettait de changer de monde et de quitter le prolétariat pour des hommes un peu plus aisés. Mais Marie par ses talents devint vite une courtisane. Ces femmes accédaient aux beaux quartiers et étaient assurés de monnayer leurs charmes contre la fortune. Ainsi au faîte de sa gloire, ses tarifs étaient si élevés que sept amants durent même partager les frais pour utiliser à tour de rôle ses services. Alexandre Dumas fut son amant durant deux ans.

Cerise sur le gâteau, elle devint Comtesse de Perregaux en 1846. Auréolé de ce titre, elle quitte son mari pour retrouver sa vie dissolue. Mais elle est atteinte de tuberculose et à l’âge de 23 ans, abandonnée de tous, ruinée, elle décède. Son corps est jeté dans une fosse commune. Le Comte de Perregaux, bon prince, la fait translater au cimetière du Montparnasse.

Mais elle restera à jamais la Dame aux camélias et la Violetta Valéry de la Traviata de Verdi, opéra grandiose créé dès 1853.  

Mona pas de fleurs en ce moment…

Votre Dick trépasse !

Je vous envoie cette modeste photo qui pourra, j'espère, réveiller Dick
Je vous envoie cette modeste photo qui pourra, j’espère, réveiller Dick

Ma chère Mona,

Fidèle lectrice de votre Journal et admirative de vos conseils toujours avisés, je me tourne vers vous pour déverser mon inquiétude au sujet de mon mari Dick. Nous ne sommes plus des perdreaux de l’année, mariés que nous sommes depuis 38 ans 6 mois et 2 jours. Jusqu’à il y a peu mon homme savait foutre le feu à mon fournil et savait me faire grimper aux rideaux pratiquement à chaque expédition. Et puis ses sollicitations se sont espacées. Sa raideur qui me ravissait et me portait aux extases les plus intenses devient un souvenir ramolli. Plus inquiétant pour moi, son aspect physique se modifie : il a pris du bide, ses poils pubiens se font la malle et garnissent plus notre pageot que son triangle magique, ses rognons blancs dont il était si fier sont devenus aussi gros que des raisins de Corinthe, et le pire c’est qu’il exhibe une paire de nibards qui grossissent à vue d’œil à tel point que je songe à lui offrir un soutif pour Noël. Et moi, j’ai le réchaud qui gémit à force d’être repoussé ; toutes mes avances se terminent par un « je suis fatigué, pas ce soir ». A ce rythme là, je désespère de nourrir mon raminagrobis avec de la viande fraîche. Faudra-t-il apprendre à mon fourneau à se passer de miches ? Ah, non. Bien qu’ayant dépassé la soixantaine, j’ai le barbu qui cherche encore de la compagnie. Mona j’en appelle à vous non point que vous soyez concernée, vous qui êtes jeune, fraîche, désirée par tous vos lecteurs bavant devant vos formes parfaites ; mais j’en appelle à votre générosité, ayez pitié d’une femme qui miaule d’un désir non assouvi. Enfin pour que votre information soit complète, je dois vous dire que j’ai essayé d’en parler avec mon husband. Il est impossible de parler calmement de ce sujet, il s’irrite, me traite de nymphomane décrépie. Jusqu’à ce jour, jamais, jamais, il ne m’avait méprisée et insultée de la sorte.
Hélène Trofersa

Hélène,
Je comprends votre désarroi, vivre de souvenirs est une épreuve que nombre de gens de votre âge vit au quotidien. Cette phrase de Chateaubriand, dans les Mémoires d’outre-tombe, reprise par le général de Gaulle est cruelle mais si vraie : La vieillesse est un naufrage. Et si nous les femmes sommes durement frappées par la ménopause, les hommes avec les ans perdent des hormones mâles, la fameuse testostérone. On parle d’andropause. Leur corps se transforme, leur appétit sexuel diminue et leur caractère devient irritable. Pendant ce temps, nous les femmes, avec la diminution de la production d’hormones sexuelles féminines, nous parsemons notre menton de poils plus ou moins épais, notre voix de soprano devient plus grave…etc, etc. Un peu comme si avec les ans, Monsieur et Madame se rapprochaient, comme si Madame devenait un peu Monsieur et lycée de Versailles. Bon, vous allez dire Hélène que mes propos ne sont pas réjouissants et qu’ils vous laissent peu d’espoir à ce qu’un jour, votre bonhomme ne vous propose une partie d’écarté et vous provoque la grands secousse paradisiaque. Certes, certes. Tout d’abord pour asticoter votre voisin de pieu, il vous faudra innover : lingerie, joujoux et effeuillage en musique… peuvent lui redonner de l’appétit. Si ces fantaisies ne suffisent pas à lui donner envie de tremper son biscuit, il faudra consulter. Seul un toubib trouvera la potion pour réveiller son doigt du milieu. Bon courage, Hélène. Quant à moi, je les prends jeunes, aussi je ne connais pas ce problème et c’est tant mieux.

Mona du matos pour attirer les raideurs.

Infâme … non une femme

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Le 7 octobre, un député Julien Aubert a été condamné à une amende de 1378 euros prélevés sur ses indemnités pour avoir appelé la présidente de séance « Madame le président » alors que le règlement de l’Assemblée Nationale a féminisé les diverses fonctions exercées par des femmes et impose d’appeler Madame la présidente.

Cette actualité me laisse pantois. Nos députés ont vraiment du temps à perdre. Et puis, nos députés peuvent-ils avoir un règlement contraire aux règles de l’Académie Française qui reconnait les deux manières de dire ?

Madame Sandrine Mazetier n’a-t-elle pas poussé le bouchon un peu loin. Infliger une amende pour ce qui n’est pas une faute de français mais une entorse à un règlement spécifique à l’Assemblée. Pendant ce temps là, on ne parle pas des fraudeurs qui siègent trnaquillement, ni du député éphémère secrétaire d’Etat qui touche l’intégralité de sa rémunération… Etrange. Dans la société normale, les femmes et les hommes sont heureusement moins susceptibles. Ainsi, les filles qui défilent sur les podiums de mode ne sont pas choquées qu’on les appelle des mannequins et aucune n’a demandé à ce qu’on la nomme manequine. De même, le bidasse qui fait le planton devant sa caserne ne s’offusque pas qu’on l’appelle une sentinelle. Même les légionnaires n’ont pas l’impression d’y perdre leur virilité ou de ne plus sentir le sable chaud… et ils entretiennent encore des relations proches des chèvres sans croire qu’ils sont de simples boucs émissaires…

Bon Mona, vous qui êtes si féminine, vous dont les courbes affolent tous les mâles, voulez vous dépuceler une boutanche ? Je me doutais de votre réponse aussi je vous propose un vin plutôt couillu : Les Calcinaires 2010 du Domaine Gauby, star du Roussillon. Cet assemblage de Syrah, Mourvèdre, Grenache et Carignan emplit avec bonheur la bouche d’un honnête homme ou d’une jolie femme.

Quelle Beauharnais !

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Les résultats des élections sénatoriales m’ont faite bondir. Non pour des raisons politiques qui me passent très largement au dessus de la tête. A force nos hommes politiques ont réussi à nous rendre au minimum indifférents à leurs gesticulations et élucubrations.

Non ce qui a déclenché mon courroux, c’est la part congrue réservée au beau sexe. Alors que des lois sont censées favoriser la parité, seules 87 femmes siègent au Palais du Luxembourg soit 25% du nombre de sénateurs. Pendant que j’y suis, je trouve également insupportable que la moyenne d’âge soit de 66 ans, âge plus adapté à la retraite qu’au vote des lois, et que plus de 75% de ces messieurs soient des cumulards. Seul espoir pour un rajeunissement et une féminisation de la haute assemblée, en 2017, ils devront choisir pour ne conserver qu’un mandat électif. Ouf !

Ayant vidé un peu la surcharge de bile qui me gênait, je veux continuer à rendre hommage aux femmes qui notamment sous la Révolution ont fait part de courage et d’héroïsme.

Aujourd’hui, je m’intéresse à Émilie de Beauharnais, comtesse de Lavalette. Cousine de Joséphine, elle est mariée, en 1798, à Antoine-Marie Chamans, comte de Lavalette, officier du général Bonaparte. Durant le Consulat et l’Empire, il devient un haut fonctionnaire très proche de Napoléon.

Mais durant la Restauration, il est arrêté et condamné à mort. C’est là qu’Émilie rentre en piste. Elle supplie le roi Louis XVIII de la gracier. Demande refusée. Qu’à cela ne tienne, elle décide contre l’avis de ses proches de faire évader son mari. Le 20 décembre 1815, à la veille de l’exécution, elle se rend à la prison de la Conciergerie accompagnée de sa fille. Elle profite de cette dernière visite au condamné. Elle se déshabille et revêt son homme de sa robe, de son chapeau. Et contre toute attente, l’évasion réussit. Au bras de sa fille, le Comte sort et se réfugie en Bavière.

La supercherie est découverte rapidement et la Comtesse est condamnée à un mois de prison. Cette épreuve la marquera. Avec la mort de sa fille, elle perd petit à petit la raison. En 1822, le Comte est gracié. Il reviendra auprès de sa femme. En 1830, il meurt laissant Emilie veuve pour 25 ans…

Mona de l’admiration pour cette Émilie.

Et un et deux et trois…

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Vous allez dire que nous n’aimons pas le vélo. Certes nous ne sommes pas des sportifs accomplis, et chevaucher une petite reine n’est pas notre occupation quotidienne. Mais avouez que ce sport n’est pas vraiment adapté pour ceux qui aiment la gym du sommier. Nous avons déjà eu l’occasion à plusieurs reprises de vous mettre en garde : la bicyclette n’aide pas popaul à se mettre au garde à vous ou à marquer midi ; quant aux femmes cyclistes, elles ont moins d’appétit au lit et leur boîte à chiards peut se gripper. Avouez que ça freine l’envie de pédaler. Et ce n’est pas ce que je vais vous dire aujourd’hui qui incitera à pratiquer le vélo.

Le frottement de la selle sur la peau occasionne un développement d’un nodule à l’aine. Les médecins toujours un peu cabotins parlent de troisième testicule. Or cette lésion qui occasionne gêne et quelquefois douleur est définitive et il faut recourir à un chirurgien pour se débarrasser de cette boulle supplémentaire. Bien qu’on parle de coucougnette, ce nodule peut également pousser sur le jardin secret d’une femme. J’ai un peu de mal à imaginer une dame m’exhibant une balloche et je pense que mon appendice à plaisir aurait du mal à la faire décoller au paradis.

Voyez-vous ma chère Mona, lorsque vous veniez au bureau en vélo, vous ne pensiez pas prendre autant de risques avec votre libido. Bon, c’est pas tout ça, buvons. Il temps de déguster ce Château le Coteau 2005. Une grande année pour ce Margaux.

Le sport s’enferme, je vous le confirme

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Me revoilà mes petits chats. Pour vous prouver, si besoin était que j’ai la pêche, je vous propose de fêter mon retour avec quelques contrepèteries  autour du sport toutes tirée de la Bible du Contrepet de Joël Martin :

Mona a essayé un petit galop

Mesdames, occupez-vous donc des chambres des masseurs !

Il a tendance à trottiner dès qu’il s’presse

C’est trop bête, tu vises mal

Balles et shoots

Sautez plus

Quel cas, ce buteur.

Bon ben, je vous laisse réfléchir et à demain…