Pets au cacao

mona-lutin-malin

C’était en décembre 2012, notre Journal toujours prompt à aider l’humanité à se grandir vous proposait des idées de cadeaux pour Noel. Ce choix était si pertinent qu’il reste toujours d’actualité.

Mais bien que nos pages ne soient pas destinées à faire de publicité afin de garder notre chère liberté d’expression, il nous est fort agréable de vous parler de la toute dernière invention du Lutin Malin. Rappelez-vous, Christian Poincheval, bienfaiteur de l’humanité a mis au point une pilule qui parfume les vents qui s’échappent subrepticement de notre fondement. Il raconte l’origine de cette innovation :  

..Nous étions à table avec des copains et après un copieux repas, nous nous sommes presque asphyxiés tant nos pets étaient malodorants. Les vents n’étaient pas très agréables pour nos voisins de table. Il fallait donc faire quelque chose. Le son du pet, on peut encore l’éviter, mais l’odeur, on ne peut rien y faire…

Certes il existe bien une pilule qui parfume agréablement vos vesses (et vos fesses ?) mais vous aviez le choix jusqu’à maintenant, entre rose et violette. Imaginez que vous soyez à table en brillante compagnie et que votre intestin soit pris d’une folle envie de fredonner quelques notes de musique ventrale, vous dégagerez une odeur de fleurs qui pourra surprendre votre entourage. Et comment expliquez que la source odorante vient de votre panse. Aussi, c’est un plaisir de vous annoncer la commercialisation d’une pilule au chocolat. Lorsque vous lâcherez une perlouse, vous pourrez dire à votre voisine : tiens, je crois deviner que le dessert sera chocolaté. Et même si ce n’est pas le cas, elle croira qu’un relent cacaoté arrivait des cuisines. Et hop, votre flatulence au lieu d’écœurer vos commensaux leur ouvrira l’appétit. Elle est pas belle la vie.

Enfin pour les amateurs de Star Wars, une petite vidéo qui vous permettra d’attendre sereinement la sortie du prochain film.

Ma Chère Mona, je vous offre cette boîte aux douces effluves. Faîtes en bon usage. En attendant, pour accompagner le chocolat rien n’égale un vieux Banyuls. Celui du Domaine Pietri-Geraud est du millésime 1950. Un festival odorant, une longueur en bouche exceptionnelle : un monument.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *