Il est vraiment Breffort

Avec Dali, je persiste et cygne (Mona-dmirative)

Alexandre Breffort (1901-1971) fut journaliste au Canard Enchainé, écrivain et homme de théâtre. Il aimait détourner les citations et les glissait en épigraphes de chapitres[1].

  • Fais-moi un cygne (Léda)
  • A nous deux, Pâris (La Belle Hélène)
  • Zut, j’ai loupé ma correspondance (Madame de Sévigné)
  • Dernier de Corday (Marat)
  • Mange ! (Madame Cambronne à son fils)
  • Attention, il y a une marche (Chopin)
  • La place d’une femme est au foyer (Landru)

Et enfin… :

  • Cà commence bien ! (Dieu)

Mais moi aussi je m’amuse avec des citations :

  • Mon métier et Mona-rt, c’est vivre.  (Montaigne)
  • J’ai supporté les infidélités de mon mari tant que j’ai aimé Mona-mant. (Marcelle Auclair)
  • J’aime mieux forger Monâ-me que la meubler. (Montaigne)
  • Le plus sot animal, à Mona-vis, c’est l’homme. (Nicolas Boileau)
  • Impossible de vous dire Monâ-ge, il change tout le temps. (Alphonse Allais)
  • Quand les gens sont de Mona-vis, j’ai toujours le sentiment de m’être trompé. (Oscar Wilde)
  • Mona-tout de cœur, c’est pour vous mon as (Mona)

Allez à bientôt et tout Mona-mour est pour vous !


[1] Notamment : Les Contes du grand père Zig, 1946.