Rythme d’enfer

Décidément l’égalité homme/femme et employée/patron, c’est pas encore pour aujourd’hui. Je suis obligée d’écrire sur le téléphone et donc utiliser l’identité de Lépicurien. Je corrigerai dès que je trouverai un ordinateur.
C’est sur un rythme élevé pour moi que nous dégustons : pas moins de quatre domaines hier avec 10 à 15 vins par propriété ; exercice d ‘autant plus difficile que Lépicurien ne m’a pas appris à cracher.
Mais enfin, je tiens le choc. La journée s’est finie avec un dîner dégustation avec une vingtaine de grands vins dont nombre de grands Crus (Clos de Tart, Corton…).
Que du bonheur !
Mona a tout goûté et a su rester digne.

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