Chasse à l’homme

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C’est quand même dingue, toutes les études qui sont publiées sur nous autres, pauvres êtres humains. Ainsi Julia Fischer est chercheuse au German Primate Center à Göttingen. Elle étudie les sons émis par les primates et a démontré que les femelles poussent des cris plus aigus lorsqu’elles sont fertiles. Il faut dire que ces périodes peuvent être fort espacées et qu’il ne faut pas rater la fenêtre de tir (si j’ose dire) souvent très courte. Julia a voulu voir si on retrouvait le même phénomène sonore chez la femme. Après étude, elle affirme qu’ en période d’ovulation, la voix féminine est plus aigue. Seule problème, c’est peu sensible à l’oreille. Autant dire que ça valait le coup de publier…

Et ça me rappelle l’étude qui indique que la femme s’habille de façon plus sexy durant cette période ce que tentent d’exploiter les marketeurs de tout poil.  

Et puis revient périodiquement (si j’ose dire), l’idée des phéromones qui indiqueraient aux mâles que Madame est réceptive. Des magazines et sites de rencontres exploitent le filon en conseillant leurs lectrices. Ainsi, ils préconisent d’éviter de mettre du parfum qui masque ces précieux phéromones qui attirent les hommes comme un fruit blet ou un étron attire les mouches. Il y a même un journal féminin qui recommande de ne pas porter de petite culotte pour que l’odeur de vos phéromones –ce produit chimique naturel que vous émettez et qui titille les hommes– se disperse plus facilement dans l’air afin que la partie reptilienne de leur cerveau (à ces obsédés permanents de la bouche d’en bas) la capte plus facilement.

Purée de purée, je dois vous dire que je n’ai mis ni parfum, ni culotte pendant quelques semaines pour chasser le mâle en rut. Je dois vous dire que je n’ai pas eu l’impression d’attirer plus facilement du gros gibier. Je dirais même que ceux qui tombaient dans mes filets chimiques n’étaient pas les plus beaux spécimens. C’étaient plutôt des mecs du style bûcheron que des petits minets qui mangent leur ronron au Drugstore. Et en plus, ils dégageaient des odeurs vraiment fortes… voire nauséabondes de quoi leur faire aumône (elle est bonne) en répondant à leurs suggestions salaces.
N’ayant pas eu de gros succès avec mes phéromones et ne voulant pas attraper froid au niveau de mon frifri cressonné, j’ai remis mes sous-vêtements Damart. Et depuis la chasse est à nouveau bonne… Comme quoi, question sexe à piles, je suis équipée comme chez Duracell.

Mona suffisamment d’appâts pour attirer de jolis playboys.

Dernière minute

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Françaises, Français,

Moi, Mona, j’en appelle à votre patriotisme,
Moi, Mona, j’attends de vous un sursaut,
Moi, Mona, je vous encourage à boire plus de vin.

La presse s’en fait écho ; alors que nous avions toujours été à la première place sur le podium de consommation du nectar de la vigne, nous venons de céder notre rang aux Chinois.

Nous ne pouvons laisser notre patrie rétrograder sans rien faire et ce d’autant plus que nous étions tout proche de garder ce titre. En effet, si les buveurs de l’Empire du Milieu se sont mis 1,86 milliards de cols derrière la cravate, nous sommes à 1,8 milliard. Si chaque Français avait sifflé 1 bouteille de plus au cours de l’année, nous serions à égalité. Avouez que c’est rageant.

Mais ce qui m’inquiète le plus, c’est que si la consommation mondiale augmente chaque année, elle baisse constamment et régulièrement en Europe et plus particulièrement en France. A ce rythme là, nous ne tarderons pas à quitter le podium sur lequel nous étions installés depuis la nuit des temps.

Françaises, Français, il faut que chacune et chacune relève les manches et surtout les coudes. Buvons un bon coup de jaja pour l’honneur de notre nation.

Mona besoin de vous. Buvez un coup, merde, c’est pour la France !

Va te faire cuire un œuf

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Je dois vous avouer que j’ai eu un copain sujet de la Queen que j’ai largué après une nuit car le gars avait des habitudes Rosbeef bien ancrées alors que moi le matin, je ne supporte ni l’odeur du bacon, ni les vibrations de la casserole qui bout pour cuire les œufs. Je sais que certains vont être déçus et me considérer comme une vieille fille casse-burnes. Que voulez-vous, chacun a ses petites habitudes et pour moi, je le concède, le matin est un moment privilégié qui nécessite silence et calme pendant que je m’enfile un thé de Ceylan et quelques biscottes à peine couvertes d’un soupçon de confiture de coing. C’est comme ça et ceux qui rêvent de se glisser sous mes draps doivent accepter mes règles du jeu.

Et je dois vous dire qu’en prenant connaissance de l’invention d’une société russe d’emballage, j’ai immédiatement pensé à mon Dick Thamer. Si ce trésor de technologie avait été sur le marché au temps de notre idylle, peut-être que j’aurais accepté plus facilement son breakfast et que nous aurions coulé quelques nuits heureuses… Ah !!!

C’est l’extase langoureuse,
C’est la fatigue amoureuse,
C’est tous les frissons des bois
Parmi l’étreinte des brises,
C’est, vers les ramures grises,
Le chœur des petites voix.

Comme chantait le poète.

Bien après ce moment de nostalgie et de mélancolie, il est temps que je reprenne mes esprits pour expliquer l’invention qui a bousculé mon cœur. Comme je vous disais Dick Thamer cuisait chaque matin son neunœuf et, pour ce, faisait bouillir de l’eau (environ 4mn) l’y plongeait délicatement et attendait que le minuteur fasse son office au terme des 2 minutes. Tout ceci générait bruit et moult déplacements.

Avec Gogol Mogol, plus rien de tout ça. Plus besoin de casserole, plus aucun mouvement après avoir tiré la languette. Car c’est l’emballage qui cuit l’œuf et ce en 2 minutes pour qu’il soit à la coque ou en 3 minutes pour un œuf dur. Je ne vais pas me lancer dans les explications scientifiques, d’autres l’on déjà fait. Mais je me dis qu’un randonneur, un soldat en mission, un ermite pourrait retrouver son punch en gobant un œuf coque sur la route ou au milieu du désert…

Et Dick Thamer serait peut-être encore dans mon pageot à me garnir la boutique à cresson. Enfin c’est du passé. N’y revenons plus.

Mona une place libre actuellement dans son pieu…

Il dirige le monde ?

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Qui a peint le tableau le plus connu au monde ? Qui a inventé le scaphandre pour la défense de Venise ? Qui fut consulté comme architecte à Florence ? Qui a étudié le vol des oiseaux ? En un mot, peintre de génie, ingénieur, inventeur, scientifique…, il fut et reste un des plus grands génies que la terre ait porté.

Il s’intéressait à tout. J’en veux pour preuve ce texte qui traite de la relation avec la chose décrite que tout homme, si ordinaire soit-il, partage avec le grand homme :

 Il entretient des rapports avec l’intelligence humaine et fait parfois preuve d’une intelligence qui lui est propre ; lorsqu’un homme a besoin de le voir stimulé, il reste inerte, et n’en fait qu’à sa tête; mais d’autres fois il se meut de lui-même sans que son maître lui en ait donné l’autorisation ou même y ait songé. Que l’on soit éveillé ou endormi, il fait ce qui lui plaît ; souvent, l’homme est endormi tandis qu’il est éveillé ; souvent, l’homme est éveillé mais lui endormi ; ou l’homme voudrait qu’il se mette en action, mais il refuse; et parfois il a besoin d’action alors que l’homme le lui interdit. C’est pourquoi il nous semble souvent que cette créature possède une vie propre et une intelligence distincte de celles de l’homme.

 Merci à Léonard de Vinci d’avoir exprimé le rapport si complexe que nous entretenons avec Popaul, tantôt matraque, tantôt limace.

Oui, je sais Mona. Vous n’avez pas ce problème, et pour cause. Mais comme ça, vous comprendrez mieux les gars qui font une courte halte dans votre pieu. En attendant que diriez-vous de boire un coup ? Si vous aviez l’obligeance de sortir deux godets, je verserais avec plaisir ce Jasnières Les Rosiers 2007 du domaine de Bellivière. Cette petite appellation méconnue de la Sarthe produit, selon Curnonsky, l’un des plus grands vins blancs. Ce vin est minéral à souhait et attend une sole juste grillée.

Victor se lâche

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Bon, ben, chose promise, chose due. Je fais référence à l’article du 17 courant. Nous commençons avec Totor qui, répondant à l’appel de George, livra ces vers scatologiques. Bon, je vous ai prévenu, c’est graveleux. Ames sensibles abstenez-vous. Pour les autres, ceux qui veulent découvrir, je vous recommande chaudement de ne pas lire ce poème en mangeant.

 Ode à la Merde

Lorsqu’après un repas l’estomac vous tiraille,
Que tout au fond de vous le haricot travaille…
Qu’il est doux de penser que bientôt, pas très loin,
Vous courrez prestement pour chier dans un coin.
Qu’on est bien, accroupi, les coudes sur les cuisses,
Tandis qu’environné d’une troupe de Suisses
On exhibe au grand air l’hémisphère dodu
Qui cache encore aux yeux le chef-d’œuvre attendu.
Ami ! Il est, dit-on, un art en toute chose,
Aussi bien à chier qu’à cultiver les roses.
Or donc, pour opérer avec discernement,
Gardez-vous qu’un papier ne vienne absurdement
Lorsque l’œuvre est parfaite, écraser l’accessoire.
Tss ! Tss ! Pas de papier si vous voulez m’en croire,
Laissez aux constipés ce procédé piteux
Qui gâche absolument un plaisir si juteux,
Que le bout de l’index, seul, fasse cet office.
Quand il aura touché trois fois votre orifice
Qui vient de s’entrouvrir comme une tendre fleur,
Il teindra votre doigt d’une étrange couleur.
Ami, si vous voulez encor’ goûter des charmes,
Sur la blanche muraille, esquissez quelques larmes.
Et si, par aventure, abondant est l’extrait,
De celle que vous aimez vous ferez le portrait.

Alors ? Vos impressions ? Quant à moi malgré les conseils souvent avisés de Victor, je ne m’aventurerai pas à négliger le papier quitte à passer pour une vieille ringarde.

Mona toujours les doigts propres. Merde alors !

Un bébé très bien

Mona vous montre son petit
Mona vous montre son petit

Britt Anique me demande de l’aider à choisir un prénom pour la crevette que doit lui livrer la cigogne au cours du printemps. Dans sa boîte à images, le toubib tire-môme lui a annoncé une pisseuse. Et Britt n’avait que des prénoms de mecs.

Bon Britt, c’est drôlement perso d’affubler le p’tit nom de son chiard. Suis-je autorisée à cette mission ? Mon petit doigt me dit que non. Mais, je vais vous aider quand même en m’appuyant sur une étude fort intéressante. Un sociologue répondant au nom de Baptiste Coulmont a étudié le lien entre les résultats au Bac et le prénom des lycéens. Il en ressort que ce sont les nanas qui trustent le plus de mentions très bien au baccalauréat. Et les prénoms qui gagnent le jackpot sont  en 2012 : Adèle, Eléonore, Aude, Constance…,  et en 2013 : Adèle, Diane, Victoire, Louise…

Voilà ma grosse, en retenant un de ces prénoms, à vous les lauriers et la gloire de fin de terminale. Certes, il me semble que ces prénoms sont plutôt donnés à Neuilly qu’à Sarcelles et qu’ils reflètent l’inégalité de chances qu’ont les jeunes pour réussir leurs études ; mais ça, c’est une autre histoire.

Mona presqu’eu la mention… Qu’on se le dise !

Peau… lissons

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Marc-Antoine Bragadin fut gouverneur de Famagouste (Chypre) dans les années 1570. Cette cité était sous la domination de la Sérénissime. La ville fut assiégée par les Turcs. Durant un an, le gouverneur résista et on prétend même qu’il envoya ad patres plus de 80.000 Infidèles. Mais n’ayant pas reçu de renforts de Venise, il dut capituler.  Il négocia la rémission de la ville avec Mustapha, Général de l’armée des Turcs. Après accord, les clés de la ville furent remises à ce dernier par Laurent Tiepoli, respectable Magistrat.
Mais Mustapha ne respecta pas les clauses et, à peine rentré dans la ville, il fit prisonnier Bragadin, Astor Baglioni qui commandait la garnison de Famagouste ainsi que les officiers. Immédiatement sous les yeux du gouverneur, ces soldats furent exécutés. Quant à lui, on lui réserva un supplice plus dur. Tout d’abord, on lui fit poser sa tête sur le billot et par trois fois, le bourreau leva l’épée et mima la décapitation. Puis, on lui coupa le nez et les oreilles. L’histoire ne dit pas si le pauvre bougre avait des lunettes. Il faut espérer que non, car il aurait du mal à les mettre…Oui, je sais, vous vous dîtes, il a osé. Mais cette blague digne des carambar a pour vocation de détendre vos zygomatiques alors que le récit devient de plus en plus lugubre, funeste, macabre, sombre, glauque. Mais après ce moment de détente bien mérité, revenons à notre héros avec son pif et ses esgourdes raccourcies et sanguinolentes. C’est surement à ce moment qu’il lâcha cette phrase en pensant à son blair et ses étiquettes fortement rognés : Ecoute mec, je me sens pas bien… ce qui fit bien rire ses tortionnaires. 

On le laissa croupir dans une geôle durant une dizaine de jours pour qu’il marine bien dans son raisiné. Après quoi, il fut ramené auprès du général Turc. On le mit à travailler aux réparations de fortifications en lui faisant porter des charges pesantes. Pour compliquer sa tâche, il devait baiser la terre à chaque fois qu’il passait devant l’officier Ottoman. Et enfin, on le dépeça à vif par petites touches. Bragadin rendit l’âme au moment où on s’attaquait au bas de sa ceinture… Savoir qu’on allait mettre à jour ses bijoux de famille, ça l’a chamboulé ; il a préféré recracher immédiatement son bulletin de naissance plutôt que de voir ses rognons prêts à être cuisinés en sauce Madère. Les bourreaux finirent de le dépieuter.

Sa peau fut envoyée à Constantinople comme trophée. Des Vénitiens la volèrent et la ramenèrent dans la Cité des Doges. Elle repose encore de nos jours dans l’Eglise Santi Giovanni e Paolo.

Ma chère Mona, que diriez-vous de boire un pot, si j’ose dire ! Je vous propose un Saint-Emilion Grand Cru : Château Tauzinat l’Hermitage 2008. Un grand vin qui donnera du plaisir à table… Qu’on se le dise !

Je n’ai pas été marron

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Lépicurien, cet homme pour qui j’ai une admiration sans borne, cet employeur qui pourrait me demander n’importe quoi que j’exécuterais avec plaisir, cet amphitryon que tout le monde s’arrache me fit la grâce de me convier à un de ces dîners qu’il organise pour ses amis. Moi son humble et dévouée assistante, je me voyais hissée au niveau de ces prestigieux commensaux et j’étais heureuse et fière comme d’Artagnan retrouvant le collier de la Reine.
Je disais donc que je partageais les agapes d’épicuriens chevronnés et découvrais la cuisine d’un chef venu du pays du soleil levant pour glorifier la cuisine française tout en amenant cette touche de grâce qu’ont naturellement les Orientaux. Le repas fut à la hauteur de mes espérances et régala mes papilles certes mais également tout mes sens.
Puis clou de la soirée, nous nous transportâmes chez un chocolatier dont la vitrine aurait fait baver n’importe quel gourmet. En pleine nuit nous pénétrâmes dans cette boutique et découvrîmes une centaine de pralines qui attendaient preneurs. Suivant les conseils éclairés du propriétaire des lieux, nous prîmes une leçon d’histoire, de gourmandise et une ballade d’arômes subtils enserrés dans leur pellicule cacaotée. Tout l’art du chocolatier est de marier le chocolat avec la subtilité d’une feuille de menthe, de thé ou la puissance d’un fruit baigné longuement dans un alcool qui explosera dans votre bouche et vous fera grimper aux rideaux de la félicité gourmande.
Je profite de ce moment pour rendre hommage à tous ces artistes de bouche qui ne travaillent que l’éphémère et remettent chaque jour leur ouvrage sur le métier réalisant des merveilles raffinées dont après quelques instants, il ne restera plus aucune trace. Je ne parle pas de ces chefs étoilés connus du grand public qui passent autant de temps sur les plateaux de télévision que sur près de leurs fourneaux mais de ces artisans qui allument chaque matin leur cuisine et imaginent des plats qui régaleront leurs semblables. Je veux aussi saluer ces chocolatiers qui nous fourniront la touche finale d’un bon repas de fête.
Chefs, habités par une passion dévorante, vous êtes la gloire de la France. Hommage vous soit rendu. Alors Serge, Akashi, Yves, Claudio, Gilles et tous les autres, un grand merci. Continuez à enchanter nos papilles et par votre travail magnifiez les produits que de sages agriculteurs nous offrent. Sans vous resterait-il autre chose que des nourritures industrielles ? Pour que jamais, nous ne disions adieu veau, vache, cochon, couvée, nous devons éduquer le goût de cette nouvelle génération souvent attirée par les mirages de l’oncle Sam.
Que votre travail soit reconnu et apprécié à sa juste valeur par de plus en plus d’amateurs de bonne chère.
Mona pas eu de crise de foie bien qu’elle ait fondu sur nombre de pralines. Quand c’est bon, le foie ne se rebelle pas…

Périr par les pets

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Mona, j’ai lu avec attention l’article de Lépicurien qui fait référence à mon courrier. En prenant la plume, je réitère mes remerciements pour le soulagement apporté grâce à vos conseils. Ma peau est redevenue aussi lisse que celle d’un bébé, plus une trace de bouton ou de point noir. Quant à mon haleine de goret, après quelques jours, elle s’est si nettement améliorée que j’ai pu embrasser un garçon sans qu’il ne me repousse ; vous dire ! Par contre, je dois vous l’avouer, je n’avais pas osé évoquer les problèmes de mon joufflu. Je suis victime de flatulences et ce quel que soit mon régime alimentaire. Et ces vents répétitifs sont fort odorants. Autant dire que je n’envisage pas encore de partager ma couche avec un hombre… alors que le baiser m’invitait à poursuivre l’exploration, si vous voyez ce que je veux dire. Ma chère Mona, si vous avez un remède, je vous en serai gré.
      Sophie Stiquet

Ma chère Sophie, j’ai déjà eu l’occasion de prodiguer quelques conseils pour réduire efficacement les inconvénients dus au gaz intestinal. Mais ce traitement n’est efficace qu’avec le temps. Aussi en attendant, je vous conseille d’acheter des sous-vêtements qui absorbent les odeurs liées à vos pets. Ils sont discrets sous vos robes ou pantalons et se renouvellent à chaque lavage. Vous pourrez donc vous soulager à votre aise sans faire fuir le prince charmant au moins jusqu’à l’entrée de votre lit… Après le gars sera trop occupé pour être importuné par votre musique de boyaux et instrument à vents.
Bon là ; faîtes moi confiance, je suis sure que vous allez le perdre bientôt votre berlingot. Courage !

Mona toujours aimé la musique.