Mère Teresa

Mère Teresa a indubitablement marqué le XX° siècle. Elle consacra sa vie aux pauvres et disait que  » Nous réalisons que ce que nous accomplissons n’est qu’une goutte dans l’océan. Mais si cette goutte n’existait pas dans l’océan, elle manquerait. »

Et la religieuse fut une femme d’action. Elle n’écrivit pas de livres mais elle laissa une correspondance, des discours et quelques poèmes dont celui-ci :

La Vie !
La vie est une chance, saisis-la.
La vie est beauté, admire-la.
La vie est béatitude, savoure-la.
La vie est un rêve, fais-en une réalité.
La vie est un défi, fais-lui face.
La vie est un devoir, accomplis-le.
La vie est un jeu, joue-le.
La vie est précieuse, prends-en soin.
La vie est une richesse, conserve-la.
La vie est amour, jouis-en.
La vie est un mystère, perce-le.
La vie est promesse, remplis-la.
La vie est tristesse, surmonte-la.
La vie est un hymne, chante-le.
La vie est un combat, accepte-le.
La vie est une tragédie, prends-la à bras-le-corps.
La vie est une aventure, ose-la.
La vie est bonheur, mérite-le.
La vie est la vie, défends-la.

Mona aimé cet optimisme. Bonne journée….

En odeur de sein tété

Autrefois, il ne faisait pas bon passer dans les mains des médecins et ce quelque que soit sa condition. Ainsi, Louis XIII fut vraiment handicapé par un bégaiement. Un contemporain écrit que le Roi avait une langue « si longue et si épaisse, que quand elle était sortie de sa bouche, ayant peine à la retirer, il était obligé de la repousser avec le doigt « . Il se demande si cette « malformation » n’était pas la cause d’une intervention délicate qui fut pratiquée lorsqu’il était bébé.

Sa nourrice constatant que le nourrisson ne tétait pas bien le confia aux mains expertes de Guillemain, chirurgien du roi. Le diagnostic fut immédiat : le filet de la langue gêne la prise du sein. Le praticien dut s’y reprendre à trois fois pour couper le filet trop épais dans le palais princier.

Est-ce cette intervention qui est l’origine du bégaiement ? Pas sûr. Mais, ce qui est certain, c’est que Louis XIII eut toute sa vie une répulsion pour les seins comme le dit le texte suivant : « On savait entre autres choses, que le roi Louis XIII regardait les tétons comme damnation et leur faisait même des avanies« .

Mona, si vous voulez un filet de vin, tendez donc votre verre, je vous prie. Marcel Couturier, vigneron à Fuissé, nous propose un Pouilly-Loché Le Bourg 2009. Le Chardonnay est grand sur ce joli terroir trop peu connu. Il faut dire que cette appellation n’est plantée que sur un peu plus de 30 ha…

Les chausses de la vie

Vous vous souvenez de Muntazar Al Zaïdy. Non ?

Mais si ! Rappelez-vous, c’est un lanceur de chaussures Irakien. Au cours d’une conférence de presse à Bagdad, il a visé George Bush, 43ème Président des Etats-Unis. Ce dernier esquiva et interrogé sur cet incident il dit en souriant : « si vous voulez tout savoir, c’était une chaussure de taille 10 ».

Mais au fait pourquoi, la pointure pour un Américain est du 10 alors que pour un Français, c’est du 44… ?

Avec le développement de l’industrialisation au XIX° siècle, on rationalise. Quand la fabrication était uniquement artisanale, chaque bottier utilisait une mesure qui lui était propre.

Sous Napoléon, les cordonniers se mettent d’accord sur une cote qu’on appelle le « point parisien ». . Il correspond à 2/3 de centimètre, soit 6, 667 mm. Ainsi dans 2 cm de semelle, il y a 3 points de couture. Donc une pointure de 42 est adaptée pour un pied de 28 cm.

Les Anglais ont choisi évidemment un autre système. La taille 1 correspond à 22 cm et on ajoute 1/3 de pouce par pointure. Le 42 français devient taille 8. Aux Etats Unis, on a repris le système anglais mais en partant de 19.84 pour la taille 1 au lieu de 22 cm.

Décidément la tour de Babel a encore de beaux jours sur notre terre…

Mona un petit pied.


Bush evite 2 chaussures lancées par un Irakien par fab2609

Zizi aux japonais absents

Mona est très connue au Japon

Je viens de recevoir un courrier de détresse d’un de mes lecteurs assidus (et malheureusement pas assidur). Le pauvre chou me dit que sa flèche à cupidon reste aussi molle que celle d’un eunuque qui aurait avalé par erreur une poignée de cachetons de bromure. Il me fait comprendre que sa vie de couple est un enfer. Sa bourgeoise espère de moins en moins qu’il arrive à lui beurrer le moule à tarte. Pour lui, l’heure du coucher tourne au cauchemar. Vous imaginez cette vie ?

En gentille fille, je ne peux laisser Gérard Menvussa (c’est bien entendu un pseudonyme. Notre journal assure toujours l’anonymat) avec la trompette en limace qui ne fréquente jamais la salade à maman. J’ai tout d’abord rappelé à « Géjet » (un diminutif pour un mec comme çà, c’est approprié) que ce problème avait été déjà traité dans ces pages que le monde entier consulte et nous envie.

Mais le pauv’biquet m’a confessé, en pleurant, avoir bouffé autant de mandragore qu’un Irlandais boit de Guinness ; avoir avalé des douzaines d’huîtres comme d’autres sucent des caramels mous en regardant la pub à la télé…

J’ai compris que là, j’avais un cas (bien que sa famille n’ait jamais fréquenté, à ma connaissance, la Cordillère des Andes).

Comme je sais que tout le monde n’a pas le courage de GM et d’exposer à tous la dureté (si j’ose dire) de son mal (mâle), je le remercie de nous avoir laissés pénétrer son intimité (!??!). Grâce à vous, Gérard Menvussa, d’autres lecteurs pourront profiter de mes conseils pertinents et féconds.

Alors mon petit Gérard, commencez dès maintenant à faire des écrocros car le seul remède que je puisse vous recommander à ce stade nécessite un séjour dans l’Empire du soleil levant. Et comme chacun sait là où il y a du yen, y’a pas de plaisir, car au Japon, la vie est chère.

M’enfin pour redonner vie à sa baguette magique, que ne ferait-on pas ?

Donc vous épargnez pour vous envoler fin mars et arriver pour le dimanche 1er avril 2012 à Kawasaki Daishi.

Mona à Kawasaki rien que pour vous !

Ce jour là, se tient (tout seul ?) le Kanamara. Ce festival rend hommage à la fertilité. Pour ce, on trimballe dans la cité trois beaux phallus. On vend des souvenirs tels que des sucettes, pénis en bois, en céleri, en guimauve (mais çà c’est pas pour vous, Gé. D’ailleurs c’est nippon, ni mauvais)

Les japonais affirment que toucher les trois zizis ce jour là leur donne force et vitalité. Alors mon petit Géjet, j’espère que ce voyage vous donnera une troisième jambe et que Maman vous attendra avec le four préchauffé…

Si comme Gérard, vous avez des problèmes de durite ou autres, vous savez que votre p’tite Mona-bandonnera pas ses amis dans la mollesse. 

Le château de verres sales…

Mona aime servir à boire

A la fin du XVI° siècle, les oculistes n’avaient pas grand-chose à leur disposition pour soigner les malvoyants. Mais depuis longtemps, le loup était réputé pour la qualité de sa vue. Aussi ils mirent au point des remèdes prélevés sur cet animal. Le moins risqué, c’était d’utiliser ses excréments. Selon le mal dont souffrait leur patient, ils utilisaient les étrons frais et en oignaient les yeux ou bien, les crottes étaient brûlées, réduites en cendre et mélangées avec du miel. Cette décoction était particulièrement utilisée pour les « yeux chiasseux ou larmoyants ». Enfin on pouvait utiliser la graisse du loup et en frotter les yeux des malades.

Malheureusement, on ne sait pas si les personnes soignées de la sorte retrouvaient une meilleure vue et si leurs yeux se mettaient à briller dans la nuit….

Bon Mona, vous voyez bien qu’il y a deux verres sur la table. Voilà l’occasion de boire un vin de Saint Romain Sous la Velle 2007 du Domaine Henri Buisson. C’était tellement long à dire que vous avez déjà fini votre verre. Allez, je le rhabille, Mona. Quand c’est bon, çà peut pas faire de mal…

Trop bon, mon loup ?

Dans ce blog, nous avons déjà publié des études sur la taille du zizi. Et, le Français, bien que battu en finale de la Coupe du Monde de Rugby, n’a pas à rougir de son sexe. Mais avec l’omniprésence d’Internet, les demandes d’opérations de rallongement de la bébête à Papa se font de plus en plus nombreuses.

Dans une dépêche AFP[1], l’Académie Nationale de Chirurgie a enfin publié  les mensurations moyennes d’un sexe masculin. Dans un but d’information pour les dames et afin de rassurer nos lecteurs masculins, nous reprenons ces chiffres :

La longueur moyenne d’un pénis au repos est comprise entre 9 cm et 9,5 cm, et de 12,8 à 14,5 cm en érection. La circonférence se situe entre 8,5 et 9 cm en inactivité, et entre 10 et 10,5 cm en action.

L’Académie justifie cette publication en mettant en garde les individus, qui complexés par un robinet d’amour un peu petit à leur goût, répondent à des annonces vantant les talents de chirurgiens qui pratiquent des opérations trop souvent superflues et toujours risquées.

Alors dormez en paix, mes chouchous. Sachez que nous les femmes, nous n’avons pas besoin de beaucoup pour aimer….

Mona vous rassuré ?


[1] Agence France Presse

Les rois du repas sage

Je suis stressée. Je m'occupe de l'haquenée du Roi

Sous la monarchie, les nobles étaient réduits à des rôles que peu de gens de nos jours accepteraient. Ainsi, dès que le Roi sortait à cheval, en voiture, deux chevaux le suivaient. Un coureur de vin et un conducteur de la haquenée le suivaient et ne le quittaient pas des yeux. Au moindre signe de sa majesté, ils s’empressaient d’accourir à ses cotés pour lui demander son envie. En effet, si le Roi avait soif, c’est le coureur qui pouvait intervenir. Rapidement, il présentait la collation demandée. Par contre, si le monarque avait une dent creuse, c’est le conducteur de la haquenée[1] qui était aux petits soins. Il avait à sa disposition des paniers contenant les mets nécessaires à un en-cas voire un repas complet.

Mais il faut dire que ces larbins de luxe étaient admis au lever du Roi, ce qui n’a pas de prix…

Bon en attendant, Mona, vous n’allez pas me faire courir pour boire un coup. Vite, deux verres, je vous prie. J’ai la baveuse qui a grand besoin d’être humectée. Allons-y pour un Clos de La Bressande 2009. Un Rully 1er cru qui fait du bien par où il passe ! Allez Mona, remettez nous çà…


[1] Rien à voir, évidemment, avec les adolescents boutonneux !


Il y a que demi mâle

Mona nourrit son chien avec des roubignoles fraîches : çà fait peur !

Messieurs, mes petits choux (pour les intimes uniquement), je vais parler d’un métier qui heureusement pour vous (et pour nous) a disparu au XIXème siècle. Rien que d’y penser, çà fait froid dans le dos (et pour vous messieurs, ailleurs ?). Mais enfin, je vous dois votre page culturelle et Lépicurien n’a pas eu le courage (et je le comprends) d’écrire sur ce sujet. Figurez vous qu’autrefois, pour soigner les hernies, des praticiens pratiquaient l’ablation d’un ou voire des deux testicules. Du XVème et XVIIème siècle, ce sont les chirurgiens qui officient. On comprend que Molière est souvent écrit sur les médecins de son  temps. Au siècle suivant, la grande majorité des chirurgiens se refuse à pratiquer cette opération et ce sont des charlatans qui prennent la relève. On les appellera : châtreurs. Ces coquins battaient la campagne et « décapsulaient des roubignoles » comme d’autres le font avec des canettes de bière.

Ainsi en 1776, dans un seul diocèse, on compte plus de 500 jeunes gens ont perdu tout ou partie de leurs attributs.

Je vous livre un extrait d’un livre du début du XVIIIème siècle qui sera réédité à plusieurs reprises. Dionis, chirurgien de son état, est un des premiers à s’élever contre cette pratique.

Au XIXème siècle, un médecin écrit que dans nombre de cas où l’ablation avait été jugée indispensable, il avait réduit la hernie à l’aide d’applications de pommade. Il ajoute que « Cette précaution est d’autant plus nécessaire, que le diagnostic des tumeurs glandaires a souvent offert des exemples d’erreurs fâcheuses de diagnostic ».

Nos anciens ne se sont pas contenter de trouver dans les bandages les moyens de guérir les hernies, ou du moins de les soulager, ils en ont cherché dans les opérations de chirurgie, et ils ont crû en avoir rencontré de trois ou quatre sortes qui toutes sont plus mauvaises les unes que les autres : les bons chirurgiens les ont abandonnées, et elles ne sont pratiquées aujourd’hui que par des charlatans, qui s’embarrassent peu des suites de leurs opérations. Je vais vous montrer la manière qu’ils nous ont proposée pour les faire, non pas dans le dessein que vous les mettiez en pratique, car je suis sûr que vous les allez condamner ; mais parce qu’il faut qu’un chirurgien sache le bon et le mauvais de sa profession, le premier pour le suivre, et le second pour l’éviter. […]

Quelques auteurs nous disent qu’on obtient la guérison des descentes par la chirurgie en deux manières ; la première en conservant le testicule, et la seconde en ôtant le testicule ; pour la première manière, ils nous proposent les quatre ou cinq opérations que je viens de vous faire voir, mais est-ce conserver le testicule que de lui ôter ses fonctions.

La seconde est d’ôter le testicule, et voici comment ils s’y prennent. On fait dans l’aine une incision qui découvre les vaisseaux, et passant le doigt par-dessous, on fait sortir par la plaie le testicule enveloppé de ses membranes, on lie les vaisseaux le plus proche des anneaux que faire se peut, et on les coupe ensuite un demi doigt au dessous de la ligature ; on laisse le bout du fil assez long pour le retirer quand la nature le sépare en traitant la plaie à l’ordinaire. Cette manière empêche certainement que la hernie ne se reproduise ;  mais il est peu de gens qui aux dépens de leurs testicules demandent la guérison de cette infirmité.

Les opérateurs ambulants sont adroits à séparer ces organes, sans que les spectateurs s’en aperçoivent, ils font la ligature des vaisseaux, avant que de tirer le testicule hors du scrotum, et avec leur petit doigt passé par dessous ces vaisseaux qu’ils coupent, ils le font sortir et le cachent dans leur main, pour le mettre dans leur gibecière sans être vu. On a connu un de ces opérateurs qui ne nourrissait son chien que de testicules ; le chien se tenait sous le lit ou sous la table, proche son maître, en attendant ce morceau friand dont il le régalait aussitôt après qu’il en avait fait l’extirpation, à l’insu des assistants qui auraient juré que le patient’ avoir toujours ses parties.

Les testicules sont des parties si nécessaires à l’homme qu’on ne doit les ôter que dans une nécessité très-pressante : c’est pourquoi on condamne ces sortes d’opérations comme contraires aux lois divines & humaines : elles seraient cependant excusables sur un religieux qui préférerait la guérison d’une hernie à ses testicules qui lui doivent être inutiles, et il en tirerait pour lors deux avantages, le premier c’est que ces organes ne le tourmenteraient plus ; et le second, c’est qu’il serait guéri d’une fâcheuse maladie.

Madame offre une "friandise virile" à son toutou

Mona pas donné à manger à son chien…. pauvre bête. Je vous laisse, il a faim.

Vous êtes Vénus exprès pour moi ?

Mona était-elle une suffragette militante ?

En 1914, à Londres, les suffragettes manifestent pour obtenir le droit de vote. Pour gagner, elles brulèrent quelques symboles masculins tel un terrain de golf. Mais, c’est sans conteste, Mary Richardson qui mit le plus en lumière ce mouvement féministe.

Le 8 mars 1914, elle se rend à la National Gallery et frappe avec un hachoir de cuisine un des tableaux les plus célèbres : la Rokeby Venus autrement dit la Venus de Velasquez. Par un malheureux concours de circonstance, Mary a le temps de frapper à cinq reprises la toile avant d’être interpelée.

L’émotion est à son comble dans tout le pays Ainsi le Times, au lendemain de l’attentat publie à la une :

« Indignation à la National Gallery, le célèbre Vélasquez de Rokeby, communément appelé La Vénus au miroir, qui est présenté à la National Gallery depuis 1906, a été mutilé hier matin par la suffragette Mary Richardson, militante activiste notoire. Elle a attaqué le tableau avec un petit hachoir à la lame longue et aiguisée semblable à celle des instruments utilisés par les bouchers, et en quelques secondes, elle lui a infligé des blessures aussi graves qu’irréparables. Suite à cet outrage, les portes de la National Gallery resteront fermées jusqu’à nouvel ordre.« 

Mais la militante a obtenu ce qu’elle cherchait. En frappant cet idéal féminin rempli d’érotisme, elle fait parler du vote des femmes. C’est en 1918, que le droit de vote sera octroyé aux femmes en Angleterre. En France, il faudra patienter jusqu’à cette ordonnance du 21 avril 1944 promulguée par le Gouvernement provisoire du général de Gaulle, à Alger : «Les femmes sont électrices et éligibles dans les mêmes conditions que les hommes».

Quand au tableau, il sera restauré en trois mois et Mary Richardson passera six mois en prison pour destruction d’œuvre d’art.

Mona voté… pour Vénus.

De mal en pis-pis…

Je m'en fous, je tiendrai le coup...

Selon des études cliniques, près de 70% des femmes souffrent d’incontinence urinaire. Mais quand on interroge sur ce sujet, les chiffres sont plus faibles. Il faut dire que l’incontinence est taboue, dégradante dans nos sociétés.

En 2004, Maria Seignez, kinésithérapeute de formation et inventrice, a été récompensée par une médaille d’argent au Concours Lépine. Elle a créé un pantalon spécial pour ces hommes et surtout femmes qui souhaitent garder, malgré leur handicap, une courbure fessière de bon aloi et éviter les couches culottes un peu trop voyantes.

Le principe est le suivant : un dispositif permet de recueillir l’urine et de l’acheminer vers une poche logée dans le pantalon. Le tuyau est caché dans une doublure afin de maintenir le confort  de celle (ou celui) qui est équipé.

Bien que ce système soit fort ingénieux, il semble qu’il ne rencontre pas le succès attendu. Alors si vous avez quelques soucis, voici le site de Maria Seignez http://www.vlass.fr/index.html

Bon Mona, vous n’avez pas de problème urinaire. Donc vous allez pouvoir déguster avec moi ce magnifique Rivesaltes cuvée Amédée 1945 du Domaine Singla. Quand je vous dis que ces vins ont une note d’éternité : un nez puissant de zestes d’orange confits, figue, miel, noix… Grand moment !