Périr par les pets

mona-ventilateur

Mona, j’ai lu avec attention l’article de Lépicurien qui fait référence à mon courrier. En prenant la plume, je réitère mes remerciements pour le soulagement apporté grâce à vos conseils. Ma peau est redevenue aussi lisse que celle d’un bébé, plus une trace de bouton ou de point noir. Quant à mon haleine de goret, après quelques jours, elle s’est si nettement améliorée que j’ai pu embrasser un garçon sans qu’il ne me repousse ; vous dire ! Par contre, je dois vous l’avouer, je n’avais pas osé évoquer les problèmes de mon joufflu. Je suis victime de flatulences et ce quel que soit mon régime alimentaire. Et ces vents répétitifs sont fort odorants. Autant dire que je n’envisage pas encore de partager ma couche avec un hombre… alors que le baiser m’invitait à poursuivre l’exploration, si vous voyez ce que je veux dire. Ma chère Mona, si vous avez un remède, je vous en serai gré.
      Sophie Stiquet

Ma chère Sophie, j’ai déjà eu l’occasion de prodiguer quelques conseils pour réduire efficacement les inconvénients dus au gaz intestinal. Mais ce traitement n’est efficace qu’avec le temps. Aussi en attendant, je vous conseille d’acheter des sous-vêtements qui absorbent les odeurs liées à vos pets. Ils sont discrets sous vos robes ou pantalons et se renouvellent à chaque lavage. Vous pourrez donc vous soulager à votre aise sans faire fuir le prince charmant au moins jusqu’à l’entrée de votre lit… Après le gars sera trop occupé pour être importuné par votre musique de boyaux et instrument à vents.
Bon là ; faîtes moi confiance, je suis sure que vous allez le perdre bientôt votre berlingot. Courage !

Mona toujours aimé la musique.

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