Télé notre bon plaisir

Un soir, après bientôt 50 ans de mariage, un couple est au lit quand la femme sent que son mari commence à la caresser comme il ne l’avait plus fait depuis bien longtemps.

Il commence par lui titiller le cou, puis descend le long du dos jusqu’au creux des reins. Il lui caresse les épaules, puis les seins et s’arrêta pile sur son bas-ventre.
Il entreprend alors de placer sa main sur l’intérieur de son bras gauche, effleure encore une fois son sein, sa hanche puis parcourt sa fesse et sa jambe gauche jusqu’au mollet. Puis il remonte à l’intérieur de la cuisse et s’arrête tout en haut de sa jambe.Il fait la même chose de l’autre côté et s’arrête soudainement, se remet de son côté sans dire un mot…

Comme toutes ces caresses lui avaient fait pas mal d’effet, elle lui demande amoureusement :
« Chéri, c’était merveilleux, pourquoi t’es-tu arrêté ? »

Il marmonne :
« J’ai retrouvé la télécommande…! »

Epouser la première velue

Mona, voilà des années que vous pensez que je suis un vilain misogyne alcoolisé alors que vous savez bien que j’aime passionnément les femmes et vous particulièrement, mon petit chou.  Si j’écris quelques vérités méchantes, c’est  juste un exercice de style, une envie de sortir un bon mot… D’ailleurs, de longue date des gens bien plus connus que moi ont sorti quelques phrases à votre endroit pas piquées des hannetons. Allez pour le plaisir, un petit échantillon :

Il n’en est pas du vin comme des femmes : il suffit de l’aimer pour qu’il vous aime.
André PREVOT

Je ne supporte pas ma femme quand je suis sobre et elle ne supporte pas lorsque je suis ivre.
André PREVOT

Celui qui cherche une femme belle, bonne et intelligente, n’en cherche pas une, mais trois.
Oscar WILDE

Si l’homme a été créé avant la femme, c’était pour lui permettre de placer quelques mots !
Jules RENARD

Les femmes c’est charmant, mais les chiens c’est tellement plus fidèles.
Sacha GUITRY

Ci-gît ma femme : oh ! qu’elle est bien. Pour son repos, et pour le mien.
Henri-Joseph DULAURENS

La femme des uns fait le bonheur des autres.
Pierre DESPROGES

Pourquoi contredire une femme? Il est tellement plus simple d’attendre qu’elle change d’avis!
Jean ANOUILH

Les hommes ont une vie plus agréable que les femmes.
Premièrement, ils se marient plus tard et, deuxièmement, ils meurent plus tôt.
H.L. MENCKEN

Il y a deux ans que je n’ai plus parlé à ma femme; c’était pour ne pas l’interrompre.
Jules RENARD

La femme est une table bien servie qu’on voit d’un oeil tout  différent avant et après le repas.
Claude-Hadrien Helvétius

Les femmes ressemblent aux girouettes: elles se fixent quand elles se rouillent.
VOLTAIRE

Les célibataires devraient être lourdement imposés. Il n’est pas juste que certains hommes soient plus heureux que les autres.
Oscar WILDE

Le meilleur moyen de faire tourner la tête à une femme, c’est de  lui dire qu’elle a un joli profil.
Sacha GUITRY

Allez Mona, ne tirez pas cette bobine, ce sont des humoristes. Allez donnez votre verre, je vous sers une douceur : Alvear PX Solera 1927. Ce vin andalou est une gourmandise qui donne des idées aux filles !

L’ivre de cave

A chaque fois qu’il vous voit, il vous parle de sa cave. Cà pour en parler, il en parle ! Des centaines de bouteilles, un jour il vous la montrera. Au fil du temps, vous avez fini par croire que c’était l’Arlésienne, cette fameuse cave… et pourtant un jour, il vous la montre : c’est une cave bien aménagée avec ses flacons bien rangés, bien classés, bien au frais. Au mur, un thermomètre –hygromètre ; sur une tablette, un livre de cave à l’ancienne veille sur des Morgons des années cinquante. Des petits Bordeaux, des Entre Deux Mers des années soixante. Graves et Médocs cohabitent avec blancs et rosés d’Arbois. Le représentant d’Henri Maire a du sévir en son temps. D’ailleurs quelques bouteilles de « vin fou » sont allongées à coté de Champagne poussiéreux. Par ci par là, quelques étiquettes prestigieuses arborent des millésimes lointains et peu cotés. Seuls de petits vins inaptes au vieillissement sont d’années prestigieuses. Les bouteilles entrent dans ce lieu, mais en ressortent rarement. C’est une cave à sens unique. Ne croyez pas qu’il soit radin ; les mets les plus recherchés sont à sa table, mais truffes, foies gras et langoustes n’auront pour compagnons qu’un cortège de fantômes : vins fanés, usés, vieillardés dans d’obscurs millésimes. Les « grandes bouteilles », il les garde pour les « grandes occasions « . Le drame, c’est que l’occasion n’est jamais assez grande. Mariages, baptêmes, anniversaires, réveillons ont vu eux aussi le même défilé de gloires déchues, de flacons décrépis, obsolètes. Le grand frisson de l’harmonie gustative est toujours remis sine die. Un jour, il mourra, c’est à tous notre triste lot. Or jamais, on ne vit de casiers à roulette accrochés derrière un corbillard. Alors ses enfants hériteront de vins rouges décatis, de Grands Crus cassés, de blancs oxydés, de Champagne éventés. On ne sauvera du naufrage que quelques rares liquoreux, vins jaunes et alcools. Le collectionneur ne sait pas que l’on est riche que des bouteilles que l’on a bues. Il ne sait pas reconnaître l’instant où il est bon de jouir de la vie. Nous en connaissons tous au moins un. C’est le « mateur » de vin, « l’amasseur » de vin.
Il possède une cave comme un eunuque possèderait un harem.

Moi, ma chère Mona, pas de risque : je bois du vin jeune. Et plus çà va, moins j’attends. Comme dit Philippe Bouvard : « j’ai compris que j’avançais en âge en ouvrant mes grands Bordeaux de plus en plus tôt ». En parlant de jeunesse, buvons ce Château Baulos-Charmes 2006. Un Pessac Léognan gourmand. Encore une que les Prussiens n’auront pas !

De fil en anguille

Un couple passe ses vacances au bord d’un grand lac. Le mari consacre ses congés à la pêche. Sa femme préfère la lecture.

Comme chaque jour, le mari revient au chalet après plusieurs heures de pêche et s’allonge pour faire une sieste. La femme profite de ce moment pour faire un tour de bateau sans même vider le matériel.
Elle se rend toujours sur le même lieu ; y jette l’ancre, s’allonge sue la coque nue pour bronzer et reprend la lecture de son livre.
Un jour, arrive un garde-pêche. Il s’approche de la dame et après l’avoir longuement admirée, il lui dit :
« Bonjour Madame. Qu’est-ce que vous faites ? »
« Je lis, vous voyez bien » lui répond-elle, (pensant « c’est pourtant évident »), en se couvrant légèrement.
« Vous êtes dans une zone de pêche interdite » lui dit-il.
« Désolé monsieur, mais je ne pêche pas, je lis ».
« Oui, mais vous avez tout l’équipement. Je dois dresser contravention ».
« Si vous faites ça, je devrai vous accuser d’agression sexuelle » répondit la femme.
« Mais je ne vous ai même pas touché » s’exclame le garde-pêche.
« C’est vrai, mais vous avez tout l’équipement ».
Moralité : Ne discutez jamais avec une femme qui lit. Il est très possible qu’elle pense aussi.

Mona pas de commentaire…

Vive l’avariée !

rêve ... et réalité

– Que faisiez vous avant de vous marier ?
– Avant, je faisais ce que je voulais.

– Je dois avouer que, lors de mon divorce, les torts étaient partagés : 50% des torts pour ma femme et 50% pour sa mère.

– Moi aussi je me suis marié, mais j’avais une excuse : le lave-vaisselle n’existait pas encore.

C’est une femme qui dit à son mari :
– Je crois que la petite a mon intelligence.
– Sûrement, parce que moi j’ai encore la mienne !

– J’attends une vraie bonne occasion d’offrir des fleurs à ma belle mère. Son enterrement, par exemple….

– Les jambes permettent aux hommes de marcher et aux femmes de faire leur chemin.

– On compare souvent le mariage à une loterie.
C’est une erreur car, à la loterie on peut parfois gagner.

– J’ai un copain qui a fait un mariage d’amour. Si, c’est possible :
Il a épousé une femme riche…. il aimait l’argent.

– La femme idéale ? C’est celle qui est partie.

– Toujours coquette ma femme, elle met des porte-jarretelles avec ses bas à varices…

– Elle est vraiment laide, mais elle a 3 millions de dot ou, si vous préférez, de dommages et intérêts !

Pourquoi vous faîtes la gueule, ma petite Mona. On peut pas rire un peu. Et puis de toute façon, c’est pas faux. Bon allez, sortez deux verres. Je vais vous servir du grand pour nous remettre : un vin de Vincent Girardin, Puligny Montrachet 1er Cru Les Pucelles 2004. Un vin d’une grande finesse avec une grande richesse. M’enfin Mona, je n’y peux rien si le nom du cru est « les Pucelles ». Cà n’a rien avoir avec vous. Bon allez goûtez, çà va vous calmer.

C’est à la culotte de ses filles qu’on juge un pays (F. Dard)

Antoine San Antonio, Frédéric Dard et Alexandre-Benoît Bérurier

Frédéric Dard, alias San Antonio s’est prêté au jeu des Pensées. En voici quelques unes pas piquées des hannetons.

Le sexe masculin est ce qu’il y a de plus léger au monde, une simple pensée le soulève.

Sa femme est encore bien pour mon âge.

Je suis un homme sans parties prises

Beaucoup de dames ouvrent les cuisses pour mieux s’aérer les méninges.

Elle a grossi de 20 ans.

Les femmes surmontent toujours mieux leur veuvage que leur ménopause.

Elle avait une bouche tellement sensuelle que les tubes de rouge à lèvres sortaient spontanément de leur étui.

Sitôt qu’elle m’ouvre la porte, mon pantalon se déguise en socquettes.

Elle a une paire de seins à te donner envie d’être exclusivement nourri au lait de dames.

Après mûre réflexion, je crois pouvoir affirmer que le plus court chemin d’un cul à un autre, c’est ma bite.

Je ne sais à quel sein me vouer.

Comme disait mon copain auvergnat : faut en prendre et en lécher.

Elle aime tellement la chose qu’elle ouvre les jambes au lieu du réfrigérateur quand tu lui demandes si elle a quelque chose à bouffer.

Il lui trifouille la pointe des seins comme un qui s’acharnerait à chercher Europe 1 sur son transistor depuis la Cordillère des Andes.

Elle me boit à la bouteille.

Je cherche des vierges pour me faire fouetter.

Je préfère les jouisseuses aux frigides : la victoire est moins honorable, mais le résultat plus satisfaisant.

L’Esquimau, par moins 40, il peut pas se permettre de se faire sucer, malgré son appellation hautement qualitative.

Mon Dieu, que le cri du morpion est triste au fond des poils.

J’ai une façon de prolonger la France d’une vingtaine de cm qui me vaut un franc succès auprès des étrangères.

Je suis un obsédé sexuel. Mais, il est inutile de me féliciter : j’ai également des défauts.

Attention le petit oiseau va sortir; pas celui qui vole en l’air, l’autre, celui qui passe le plus clair de son temps à couver ses œufs.

Comment trouves-tu mes fesses ?
Très facilement.

Qu’est ce que tu fais, ma belle ? Je suppute.
Mais y a pas de sot métier, mademoiselle.

L’amour est à la portée de toutes les bourses.

Alors Mona, vous avez apprécié. Sans plus, ah bon ? Décidément, les filles, c’est pas facile de vous faire rire. Bon allez, on va se déglinguer une fillette : Olivier Merlin nous propose un Macon Villages La Roche Vineuse 2008 : une jolie matière pour un excellent rapport qualité prix.

Les lésions dangereuses

Au cours d’un séminaire médical, un médecin repère une de ses collègues. Ils font connaissance, et la femme accepte de dîner avec lui.
Au restaurant, avant de s’asseoir à la table, elle demande à se laver les mains. Après le dîner, elle repart se laver les mains.

La soirée se poursuit dans un bar branché de la ville, puis ils se retrouvent dans une chambre d’hôtel.

Avant de se glisser dans le lit, la femme rentre dans la salle de bain pour se laver les mains …

Le lendemain matin, elle se lève en disant qu’elle va se laver les mains. Lorsqu’elle revient, son amant d’une nuit lui dit :
– Je parie que tu es chirurgien !
La femme lui confirme qu’il a raison et lui demande comment il a deviné.

Alors le gars répond :
– Facile, tu es toujours en train de te laver les mains.

Alors la femme dit :
– Et bien moi, je parie que tu es anesthésiste !

Le gars répond :
– C’est vrai! Mais c’est incroyable. Qu’est ce qui, dans mon attitude, a pu te faire penser à cette spécialité ?

Elle :
– Parce que, cette nuit, je n’ai absolument rien senti….



Après une longue nuit d’amour, un gars se tourne sur le côté et aperçoit la photo d’un autre homme sur la table de nuit…

Il demande à sa compagne :
– « C’est ton mari ? »
– « Mais non, idiot ! » lui répond-t-elle en se blottissant contre lui.

Il insiste :
– « Ton petit ami ? »
– « Mais non ! Pas du tout… » dit-elle en lui mordillant l’oreille.
– « Bon, mais alors c’est qui ? » fait le gars un peu déconcerté.

Calmement et très doucement, elle lui murmure :
– « C’était moi… avant l’opération. »

Ma Chère Mona, après ces quelques jours de congé, il est temps de tremper vos lèvres dans ce verre de Meursault 2002 du Domaine Lafarge. Avouez, Mona, que çà commence fort !!

En flagrant débit

dessin de Cabu

Regardez donc ce que j’ai trouvé sur le bureau de Lépicurien. Si çà c’est pas de la provocation !

Le courage :

C’est rentrer saoul au milieu de la nuit, de voir ta femme qui t’attend avec un balai à la main et lui demander :
« T’es encore en train de nettoyer à c’t heure là ?… »

Le culot :

C’est rentrer saoul au milieu de la nuit, entouré d’un nuage de parfum, du rouge à lèvres sur les vêtements, de voir ta femme qui t’attend avec un balai à la main, lui taper sur les fesses et lui dire avec un air détaché  :
« T’énerve pas ma Bibiche, c’est ton tour maintenant !… »

Mona pas envie de vivre çà, aussi, elle se mariera pas ...

Par ici la Monet

Camille Doncieux est modèle. Elle rencontre en 1865 Claude Monet et ne le quitte plus. Mais en 1879, elle meurt d’un cancer laissant deux jeunes garçons au peintre.

Pourtant dès 1878, une autre femme partage la vie de l’artiste : Alice Hoschedé. C’est d’ailleurs elle qui soignera Camille durant sa longue maladie et élèvera les deux garçons avec ses six enfants.  Elle n’épousera Monet qu’en 1892.

Camille, Alice et les enfants seront les personnages les plus présents dans les toiles du maître.

Ainsi Camille et Jean poseront en 1875 pour « la femme à l’ombrelle ».

En 1886, c’est Suzanne Hoschédé, fille d’Alice qui sera le sujet de deux tableaux : « Femme à l’ombrelle tournée vers la gauche » et « Femme à l’ombrelle tournée vers la droite ».

Ces toiles reflètent calme, bonheur.

Malgré tout, lorsque Gotlib s’empare d’une de ces toiles, il plonge sa coccinelle au milieu des périls…

Mona, vous savez que Monet fut un vrai gastronome. Il aimait particulièrement le Champagne. Aussi, je vous propose un Champagne Rosé de Bollinger. Cette couleur m’impressionne, comme dirait Monet !!


Aujourd’hui, on s’en paie une bonne tanche

Sur nombre de blogs, vous lirez tout sur le poisson d’avril. Notre blog étant destiné à un public adulte  et cultivé, nous ne souhaitons pas nous attarder sur cette date et les gags plus ou moins vaseux qui l’accompagnent. Aussi avec Lépicurien, avons nous retenu un extrait d’une conférence de Robert Lamoureux.

retrouver ce média sur www.ina.fr

Si par hasard, vous goûtez au style pouet-pouet, gaulois, franchouillard, ne souhaitant pas vous voir migrer d’autres cieux ou pire vers d’autres sites, nous mettons (à contre coeur) à votre disposition une vidéo qui assouvira votre envie de sourire benoitement.

Mona rend au vin blanc hommage, et vous ?