Sapin ce Monseigneur !

Mona mesure les lancers
Mona mesure les lancers

Dimanche dernier, se tenait le concours du jet de sapin de Noël au sein d’une entreprise spécialisée dans la culture du résineux. Une centaine de concurrents se sont présentés pour inscrire leur nom dans le bois.  Pour ce il fallait lancer le plus haut puis le plus loin possible un sapin de 1.80m et pesant 10 kilos. Chacun avait le droit à trois essais. Afin de respecter une parfaite égalité entre les candidats, les arbres étaient régulièrement changés car, vous imaginez bien qu’à force d’être catapultés en tous sens, des branches se détachaient du tronc et allégeaient le projectile C’est un ancien militaire, âgé de 26 ans, Owen Davis qui a gagné le concours en lançant à 6.70m en hauteur puis plus de 8.00m en longueur. Il faut souligner que les fonds récoltés lors des inscriptions ont été reversés aux œuvres de l’armée britannique. Le vainqueur a reçu 100£ et une bouteille de Champagne.

Deux manières d’interpréter cette nouvelle en provenance d’Angleterre. On peut admirer le gars qui propulse un sapin si haut et si loin. Ou bien, on se dit que décidément l’homme moderne s’emmerde et qu’on ne compte plus les concours idiots du plus grand bouffeur de hot-dog, du plus grand avaleur de soda en un temps record, du mec qui envoie le plus loin un noyau de cerise ou un bouchon…

Quitte à vous paraître lâche, je ne prendrais pas parti même si je trouve tout ça pour le moins idiot.

Bon en attendant, je vais aller de ce pas acheter mon arbre de Noël et lui coller un paquet de guirlandes.

Mona un cœur d’enfant.

L’amer Noël

Mon beau sapin

Mes petits chats, Lépicurien et moi, on vous souhaite une bonne et heureuse année 2011.

Bon, en ce jour de reprise, il faut que je vous confie (de canard) la dernière du boss. Chaque année, on avait l’habitude de faire un joli sapin au bureau.  Or cette fois, rien. Vous savez que je ne me plains pas souvent. Mais là, le Boss, il va un peu loin. Il dit qu’à cause de la crise économique, les entreprises doivent faire des économies. Il a décidé de ne pas faire l’arbre de Noël.
Et comment vais-je lui faire son cadeau au grand homme ? Moi, j’ai besoin de symboles. Aussi j’ai décidé de faire le sapin. Que pensez vous du résultat ?

Lépicurien a trouvé l’idée excellente. Il a même ajouté que crise ou pas crise, il n’y aurait plus jamais de sapin de Noël dans l’entreprise. « Inutile de détruire la forêt« , m’a-t-il confié.

Mona pas mis de boules, faudrait pas exagérer ! Je veux bien être sapin, mais pas sapine.

En attendant, les gars, j’ai fait un cauchemar le jour de Noël :