Massage personnel sur gazon

ball-golfDeux femmes commencent une partie de golf. La première qui vient de frapper sa balle, la voit partir en direction d’un homme qui marche devant elles et le heurte violemment. Elle voit l’homme mettre immédiatement ses mains serrées entre ses deux cuisses et s’écrouler tordu de douleur dans la position  foetale. Immédiatement elle se précipite vers lui et s’excuse. Puis, elle lui explique qu’elle est physiothérapeute et qu’étant responsable et coupable (hum !!) elle se propose, s’il se laisse faire, de tenter de diminuer sa douleur.
– Oooh.. Non. Ce n’est pas nécessaire, tout va aller pour le mieux dans quelques minutes, lui répond le blessé avec un masque de souffrance et les deux mains entre les jambes.
Mais elle insiste pour lui faire un traitement et finalement il se laisse faire. Délicatement elle dégage les mains du blessé d’entre ses jambes, ouvre son pantalon et place les siennes à l’intérieur en le massant doucement. Après quelques minutes elle lui demande :
– Comment vous sentez vous ?
– Toujours aussi mal … mais …
Alors, sans lui laisser le temps d’aller plus loin, elle se penche et lui administre une gâterie buccale jusqu’à ce qu’elle entende :
– Hum, merci, ça fait du bien, lui dit le blessé, mais j’ai toujours aussi mal au pouce !!

La balle, elle est où la balle ?
La balle, elle est où la balle ?

Au golf, une femme rentre au club-house en disant :
Je me suis blessée entre le 1er et le deuxième trou.

D’un canapé où sont vautrés quelques hommes de bon goût, elle entend :
Cà va être dur de faire tenir le pansement à cet endroit là.

Les éléphants rosses

elephant-g_912Dans le nord de l’Inde, une cinquantaine d’éléphants a fait un raid dans un entrepôt. Ils ont vidé des flacons entiers de LAOPANI , un « vin  » à base de riz (on devrait plutôt dire bière). Après quoi, ils ont dévasté tout un village, faisant cinq morts.


Maître, qu’ont-ils pu invoqué pour leurs défenses ?

******

Les animaux du cirque Barnum paradaient dans la grand rue d’une bourgade de « l’Ouest sauvage  » ; les habitués du Saloon furent sidérés : ils en avaient déjà vu de ces grosses bêtes à trompe, mais  en gris ? Ah, de cette couleur là, jamais !!

En lisant cela, on se dit que la même chose pourrait arriver en Bretagne… et que çà ne surprendrait personne.

Kenavo, comme on dit chez moi
Kenavo, on se reverra
Kenavo, comment oublier ça ?
Kenavo, je repasserai par-là

Chanson de Gérard Jaffrès

Selon des « sources » (de vin, bien entendu) non confirmées, c’est bien la Bretagne qui détient le plus gros troupeau d’éléphants en Europe. Mais seuls les vrais Bretons peuvent les boire de près.  Il fallait le dire.

Mona les fans


Un homme qui va passer un sale carter

Une belle femme et un homme ont une collision assez grave. Les autos sont totalement détruites. Ils rampent donc à l’extérieur de leurs véhicules respectifs.

alcolovol21La femme dit : « Vous êtes un homme et je suis une femme; regardez nos voitures : rien ne reste et nous ne sommes même pas blessés. C’est un signe que Dieu voulait qu’on se rencontre et que l’on devienne amis ».

Flatté et sous le charme, l’homme réplique :  » Je suis d’accord avec vous, cela doit être un signe. »

La femme dit : « Regardez, un autre signe : mon auto est entièrement démolie, mais la bouteille de que j’avais à l’intérieur est intacte; le Ciel a sûrement voulu qu’on la boive pour célébrer notre chance d’être toujours en vie. »

Elle tend alors la bouteille à l’homme avec un tire-bouchon.

L’homme, sortant un tire-bouchon de sa veste, l’ouvre, en boit la moitié et la tend à la femme en disant :

« Cà fait du bien par où çà passe, c’est le meilleur moyen de se remettre de ses émotions, merci… ».

Elle la prend, remet le bouchon dessus et la rend à l’homme.

Celui-ci demande : « Vous n’en prenez pas? »

La femme répond : « Non, je crois que je vais attendre la police. »

Moralité : l’homme se fait souvent à boire par une femme.

Philo-bock

le-penseur-de-rodinUn prof de philo se présente devant la classe avec une série d’objets inhabituels qu’il pose sur son pupitre, face à ses étudiants. Le  silence intrigué de l’assistance étant acquis, le prof prend un grand  bocal de cornichons (vide et propre) et commence par le remplir jusqu’au bord supérieur de pierres, d’un diamètre situé entre 6 et 7 cm.

Cela terminé, il demande à la classe si le bocal est rempli. Les élèves  répondent que oui.

Le prof prend alors un sachet rempli de gravillons et  le verse dans le bocal. Il agite le tout, pour égaliser, et voilà que le  gravier remplit tous  les espaces encore vides. Après avoir complété cette  manipulation, le prof demande une fois encore à sa classe si le bocal est maintenant bien rempli. La classe répond hilare et intriguée que oui.

Le prof se saisit alors d’un petit sac de sable et en verse le contenu dans le bocal. Évidemment, le sable se fraie un passage dans les interstices qui sont encore disponibles, au grand contentement de la classe.

« Voyez-vous », dit le prof en s’adressant à ses étudiants « , j’aimerais que vous compariez ceci à votre propre existence. Les grosses pierres représentent les choses véritablement importantes, comme la famille, le couple, la santé, les enfants. Ces choses qui font que même si vous perdez tout le reste, votre vie n’en demeurera pas moins bien remplie.

Les gravillons représentent, quant à eux, les choses qui sont importantes, mais non essentielles, comme le travail, la  maison, la voiture. Enfin, les grains de sable peuvent être comparés aux choses sans importance. Si vous commencez par mettre le sable dans le bocal, il ne restera plus assez d’espace pour le gravier ou les pierres. Il en va de même avec votre vie :

si vous gaspillez votre disponibilité et votre énergie pour les petites choses, il ne vous restera  jamais  assez ni de temps ni de place pour ce qui est essentiel à votre  bonheur. Jouez avec vos enfants, prenez le temps d’être à l’écoute de votre santé, sortez avec votre conjoint, parlez avec vos parents. Il y aura toujours  du temps pour réparer l’aspirateur, pour finir un dossier ou laver la voiture. Soignez les grandes pierres en tout premier lieu, ce sont  les  choses qui comptent vraiment. Le reste n’est que sable qui s’écoule entre vos doigts. »

Tous les étudiants applaudissent et semblent touchés par les propos du maître. Mais soudain, voilà qu’un étudiant se lève. Il s’approche du pupitre du maître et se saisit du bocal, dont chacun s’accordait à dire qu’il était cette fois véritablement, totalement rempli.

canette_1L’étudiant décapsule une canette de bière devant tout le monde et en verse tout le contenu dans le bocal. Ainsi, le liquide se disperse  harmonieusement dans les espaces qui, à l’évidence, existaient encore dans le fameux bocal.

Moralité : « Aussi remplie que soit ton existence, il y aura  toujours de la place pour une bonne bière« .

C’est la journée de la femme, pensons y

Cà, c’est bien vrai

monica2

Une femme nue est debout et se regarde dans la glace.

Elle dit à son mari en pleurnichant :
« Je suis horrible à voir, je suis toute grosse et vraiment laide.  Et puis, j’ai les seins comme des gants de toilette et une culotte de cheval à faire pâlir un jockey. Je me demande ce que tu peux me trouver. Allez mon chéri, c’est la journée de la femme, sois gentil, jai besoin que tu me fasses un compliment! »

Il répond avec tact :
« Bravo, ma chérie, t’as une bonne vue ! »

Un célèbre m’as tu bu

churchill_ottWinston Churchill, solide bon vivant, a eu le même médecin : Lord Moran, de 1940 à sa mort,  en 1965, à l’âge de 90 ans. Un journaliste demanda un jour au docteur du célèbre Premier Ministre :

– « Quel est votre rôle auprès de votre illustre patient ? »
– « Hé bien,
répondit le médecin, plusieurs fois par semaine, nous mangeons ensemble et je surveille son régime. »
– « Cela consiste en quoi ? »
– « C’est très simple, quand il reprend d’un plat ou d’un vin… j’en reprends aussi !

******

pol-roger-winstonWinston Churchill affectionnait particulièrement le Champagne et le Whisky. Un jour qu’il arriva éméché à une conférence de presse, une journaliste s’offusqua :

« Monsieur le 1er ministre, c’est une honte de vous présenter dans cet état devant vos concitoyens ».
Ce à quoi il répondit :
– « Oui, mais moi, Madame, demain je me lèverai et j’aurai dessaoulé, alors que vous, vous serez toujours aussi moche ! »

A une question d’une autre journaliste, lui demandant le secret de sa bonne forme :
« Le sport, Madame, JAMAIS de sport !« 

Et pour finir en beauté :
« Après la guerre, deux choix s’offraient à moi : finir ma vie comme député, ou la finir comme alcoolique. Je remercie Dieu d’avoir si bien guidé mon choix : je ne suis plus député ! »

********

Un médecin voulait supprimer le vin à un de ses patients…

« Pourtant, Docteur, si vous saviez comme le vin me donne du courage et de la force… Tenez par exemple, je me suis fait livrer un barriquot, il y a 15 jours. J’étais si faible que je le déplaçais avec difficulté. Depuis hier, je le porte à bout de bras !

Une histoire de gros saouls

Trois des plus grands collectionneurs de prestigieux flacons se réunirent dans un restaurant parisien. Chacun avait extrait de sa cave le flacon le plus fabuleux, le plus ancien, le plus extravagant pour la dégustation la plus onéreuse et la plus médiatisée de l’histoire. Cléopâtre et ses perles dans son vinaigre, allait paraître bien chichiteuse !

Black Appart de Boston, commentait son Lafite 1730 :  » Il est plein de poussières du temps, il a la suavité de la dentelle jaunie … en un mot, il est sublime de vieillosité ».
Il expliqua alors à ses commensaux qu’il avait soufflé cette dive bouteille à la barbe d’un émir et d’une baronne anglaise pour à peine plus de 60.000 $ lors d’une vente aux enchères.

tokaj1Li Vin Jon, dit Ming De Rien, arrivé tout droit de Shanghai, fit cérémonieusement servir un Tokaj 1750 provenant directement de la cave du Tsar Nicolas II. Il avait payé ce flacon un peu plus de 75.000$ à un ancien apparatchik, qui, après avoir siégé au comité central d’une des républiques de l’ex Union Soviétique, s’était reconverti dans les affaires. « Sentez ce nez de fruits blets, de guano sec … sentez vous sous la langue les débris du bouchon d’origine ? « 

« Vous n’avez encore rien vu! Attendez vous à recevoir un coup de pied dans les Pouilles », s’exclame grossièrement Marco Goulo, grand collectionneur napolitain, en brandissant galgr171une amphore de Lacryma-Christi. Il m’a fallu débourser 180.000$ pour goûter ce nectar de plus de 1.500 ans. En effet, j’ai du en acheter deux. Mais, mon chauffeur en a cassé une ! Comme on dit chez nous, une de Padoue, dix de retrouvée, ah, ah, ah ».
Après avoir bien rigolé et goûté l’antique breuvage, les commentaires vont bon train :
« Subtil, dilué d’aromates verdurés … odeurs de térébenthine, le tout rehaussé par une touche de varech décomposé … Et quand je pense qu’elle n’est restée que 10 siècles sous la mer …c’était vraiment une affaire à ce prix là « .

Repus et comblés, ils demandent au sommelier du lieu de leur servir la bouteille de son choix pour les étonner. L’homme de l’art revient avec une carafe contenant un étrange liquide : « rouge sombre, limpide … Comme c’est bizarre, et cela sent les fruits rouges, le bois grillé, et en bouche, cela vous tapisse le palais … et, de plus, cela ne fait même pas mal à la gorge quand on l’avale. Allons, ne faîtes pas durer le suspens, montrez nous l’antique bouteille que vous avez servie « 

– Et bien, il s’agit d’un Médoc, Tour Haut-Caussan 2005, un vin de Médoc vendu sur notre carte à 30 €.

Depuis ce jour, le trio des buveurs de dollars vexé décida de se réunir dans une autre ville.

Vespasien, vespasiennes… unissez vous

Pourquoi Vespasien a dit « l’argent n’a pas d’odeur  » ?
Les tanneurs utilisaient de l’urine pour dégraisser et ramollir les peaux. Durant son règne, il créa un impôt sur les urines. Cette taxe était calculée en fonction du nombre de personnes habitant sous un même toit.

vespasien_sesterce_temple1Suétone, le grand historien, rapporte que son entourage le raillait pour cette initiative. Alors qu’il en discutait avec Titus, son fils, on apporta un sac d’or à l’Empereur. Mettant le sac sous le nez de son fils, il lui dit : « Sens tu quelques chose ? ». Son fils ayant dit que non, Vespasien ajouta le fameux : « l’argent n’a pas d’odeur (pecunia non olet), et pourtant c’est la taxe sur l’urine…« .

Il faudra attendre le préfet Claude-Philibert de Rambuteau, sous Louis-Philippe, pour que des urinoirs soient installés à Paris. Après avoir été appelées « colonnes Rambuteau », ces lieux de commodité, de rencontre, furent baptisés (si j’ose dire) « Vespasiennes ». Il est à remarquer que seuls les messieurs pouvaient se soulager… Il faudra attendre 1990 pour que les dames puissent accéder à des toilettes publiques. Mais ce fut payant.

Comme diraient les Romains : « Veni, vidi, pipi » ou bien « Pisse repetita placent« .

Et pourquoi, nous les femmes, ne pourrions nous pas uriner en n’importe quel lieu public ? Et bien, je suis heureuse de vous dire qu’il existe maintenant le « Magic Cone » (voir illustrations ci-dessous). Simple d’emploi, discret, ce petit papier fait merveille. Il nous permet de goûter aux joies de pisser debout et de viser dans un urinoir. Encore une victoire à la pi-pyrrhus (victoire acquise au prix de lourdes pertes), mais une victoire quand même.

Il faut Mona viser…

bagno1
çà surprend...
urine-femme-copie
...tout s'explique
kiki3
le monde à l'envers !!!
plus jamais, çà.
Pour ne plus vivre, çà.
Simple d'utilisation ...
Ouvrez le cone ...
Merci Magic Cone
...et merci Magic Cone

Poête sur poêle

la-garde-3Plus çà va, plus je trouve que la poésie s’infiltre dans les menus de certains restaurateurs et sur les contre-étiquettes des vins appelés à dormir sur les linéaires des grandes surfaces. Ainsi, vous pourrez lire :

« Prince de la Baltique dans sa nage provençale » : il faut comprendre hareng mariné à l’huile.
« Emincé champètre de boeuf aux batonnets de tubercules andines » : on vous prépare à découvrir par hasard un mini-steack sous une feuille de salade flétrie accompagné de frites juste décongelées.
« Issu de vieux ceps de nos plus nobles cépages » se traduit par : dès qu’elle pisssera plus assez c’te parcelle, je l’arracherai, c’est promis !!!
« Dans le pur respect d’une tradition séculaire » : avec la machine à vendanger et concentrateur, bon an, mal an, je produit toujours la même quantité de pinard.
« Ce vin de velours magnifiera rôtis, gibiers et fromages affinés« , craignez le pire : ce vin vous aidera à déglutir steack haché en boîte, volailles de batterie et camemberts industriels plâtreux. Attention quand même à la miction, un risque certain de destruction du cuir de vos chausses.