C’est l’ara qui rit

Une femme appelle un dépanneur pour réparer son lave-linge tombé en panne. Rendez-vous est pris pour le lendemain.

La femme précise que son emploi du temps l’empêchera d’être là. Aussi elle laissera la clé sous le paillasson :
« Merci après avoir réparé de poser votre facture sur la table. Je vous adresserai le chèque aussitôt.  Quand vous rentrerez dans l’appartement, ne soyez pas surpris, j’ai un Dogue Allemand nommé Fritz. Il est impressionnant, mais il ne vous fera aucun mal. Mais, attention quoi qu’il arrive, ne répondez pas au perroquet. C’est compris : ne parlez pas à Coco. Bien… à demain, bonne soirée. »

Le technicien arrive à l’appartement le lendemain, il se trouve nez à nez avec le dogue qui grogne légèrement mais va vite s’allonger dans son panier. Il se met au boulot. Mais rapidement, le perroquet l’interpelle, puis l’insulte et enfin le traite de tous les noms.

Après une heure, n’en pouvant plus, notre homme se tourne vers le volatile et lui tonne :
« Tu vas te le fermer ta grande gueule »

Le perroquet lance en guise de réponse :
« Fritz, attaque…, Fritz, attaque . »

En rentrant le soir chez elle, la cliente retrouva quelques restes du dépanneur. Elle déchira la facture et écouta le Requiem de Mozart…

Moralité : Les hommes n’écoutent jamais ce qu’on leur dit et c’est bien fait pour eux !.

Mona pas de perroquet, et vous ?

Si vous voulez vous joindre à la peine de la famille, vous pouvez écouter cette magnifique oeuvre


Fable express

Avec la cigale et la fourmi, c’est surement la fable la plus connue de Jean de la Fontaine. Enfant, chacun d’entre nous, s’est retrouvé devant le tableau noir, les mains dans le dos pour déclamer « Maître corbeau, sur un arbre perché ».
Comme souvent, le fabulateur est allé chercher chez Esope son inspiration.
Ces vers ont depuis inspirer nombre de pasticheurs.


Le corbeau sur un arbre perché
Ne foutait rien de la journée.
Le lapin voyant le corbeau
L’interpella et lui dit aussitôt:
Moi aussi, comme toi, puis je m’asseoir
Et ne rien foutre du matin jusqu’au soir?
Le corbeau lui répondit de sa  branche :
Bien sûr, ami à la queue blanche,
Dans l’herbe verte tu peux te  coucher
Et ainsi de la vie profiter.
Blanc lapin s’assit alors par terre,
Et sous l’arbre resta à ne rien  faire,
Tant et si bien qu’un renard affamé,
Voyant ainsi le lapin somnoler,
S’approcha du rongeur en silence,
Et d’une bouchée en fit sa pitance

Moralité :
Pour rester assis à ne rien faire
Il vaut mieux être très haut placé.


Jean de La Fontaine a été mis à toutes les sauces. En voici une version plat pays.


Mona prend par coeur les recettes de lapin..

Cà, c’est concis

Bien sûr, certains vont dire que je dois avoir l’esprit bien tordu pour oser mettre une succession de mots qui ont un sens tout à fait respectable et en faire des mots équivoques. Ils ont surement raison ; mais je suis prêt à tout pour un mauvais jeu de mot. Cà me perdra ? Peut-être, mais je ne peux pas m’empêcher…

Et de plus, je dédie cette page à un vieux camarade qui est passionné par la chose. Il se reconnaîtra. Si vous même avez des définitions à proposer, n’hésitez pas à les ajouter en commentaire…

Combat : femme courte sur pattes ?
Combien : çà, c’est vrai
Comparant : ma sœur ? inceste pas…
Comparé : maquillée ?
Compassé : dommage
Compassion : oui, oui, oui !!!
Compétent : musicienne ?
Compétition : attend une augmentation ? ou pire en grève
Compilé : ah, non !
Compatriote : allons enfants…
Compensé : pas blonde ?
Compisser : bof !
Complainte : pas de çà chez moi
Complaire : toujours
Complanté : par qui ?
Complice : bientôt compassé, mon vieux
Composant : photo, souriez !
Composition : Kâma-Sûtra ?
Compressé : attend moi, chérie
Comprimable : éligible au Goncourt ?
Compromis : fiancée ?
Comptable : çà change du lit
Compulsé : besoin d’air ?
Concassé : à Soissons ?
Concave : on touche le fond
Concentré : heureusement…
Concentrique : et le viagra, c’est pour qui ?
Concerto : du moment qu’elle n’est pas mineure
Concierge : pour allumer la mèche
Concitoyen : vive la République
Concubin : attend un cigare ?
Concupiscent : des fuites de partout ?
Concurrence : pas très propre tout çà !
Condamné : à quoi ?
Condoléances : on réclame ?
Condor : pas tous les soirs, quand même
Confédéré : échangiste ?
Confessé : sortez les fouets
Confondre : femme fontaine ?
Confort : ne serre pas trop
Confraternel : t’es ma femme, merde
Congé : le point G ?
Congelé : seule depuis longtemps ?
Congénère : bientôt mère ?
Congénital : pléonasme
Conjonction : enfin !
Conjuré : crache !
Conquête : ah ben, merde
Consanguin : no comment
Conscient : oh là, dangereux mon con
Consentante : bonjour Tonton
Consensuel : j’arrive !!
Consensus : on fait ce qu’on peut
Conséquence : on fait du porno ?
Consonne : moi, qui voulais être discret
Consommation : oui, oui, j’arrive
Consort : met une culotte au moins
Constater : je peux le faire
Contenant : lâche pas
Contenté : par quoi, mon chou ?
Contourné : si tu veux ; du moment que t’es à l’aise
Contractant : t’aimes le camping ?
Contrôlé : dommage, mais c’est toujours beau pour moi
Contumace : le pied
Convenu : pour rien ?
Converge : amis ?
Convocation : ah bon ?
Convoyeur : te gêne pas, y’a ce qui faut !

Bon, Mona, il temps de boire un coup. J’ai la muqueuse qui crie. Et bien entendu, vous me connaissez, j’ai choisi un vin qui va bien : Champagne Jacques Copinet. Mais non, je vous assure, çà existe. Oh, vous voyez le « mâle » partout. Allez deux flutes, et buvons…


Combat : femme courte sur pattes ?

Combien : çà, c’est vrai

Comparant : ma sœur ?

Comparé : maquillée ?

Compassé : dommage

Compassion : oui, oui, oui !!!

Compétent : musicienne ?

Compétition : attend une augmentation ?

Compilé : ah, non !

Compatriote : allons enfants…

Compensé : pas blonde ?

Compisser : bof !

Complainte : le copain de compétition ?

Complaire : toujours

Complanté : par qui ?

Complice : bientôt compassé, mon vieux

Composant : photo

Composition : Kâma-Sûtra

Compressé : attend moi

Comprimable : éligible au Goncourt ?

Compromis : fiancée ?

Comptable : çà change du lit

Compulsé : besoin d’air ?

Concassé : à Soissons ?

Concave : on touche le fond

Concentré : heureusement…

Concentrique : et le viagra, c’est pour qui ?

Concerto : du moment qu’elle n’est pas mineure

Concierge : pourquoi pas ?

Concitoyen : vive la République

Concubin : attend un cigare ?

Concupiscent : des fuites de partout ?

Concurrence : pas très propre tout çà !

Condamné : à quoi ?

Condoléances : on réclame ?

Condor : mais oui, mon bijou

Confédéré : échangiste ?

Confessé : sans moi

Confondre : femme fontaine ?

Confort : ne serre pas trop

Confraternel : t’es ma femme, merde

Congé : le point G ?

Congelé : seule depuis longtemps ?

Congénère : bientôt mère ?

Congénital : pléonasme

Conjonction : enfin !

Conjuré : crache !

Conquête : ah ben, merde

Consanguin : no comment

Conscient : dangereux

Consentante : bonjour Tonton

Consensus : on fait ce qu’on peut

Conséquence : on fait du porno ?

Consonne : moi, qui voulait être discret

Consommation : oui, oui, j’arrive

Consort : met une culotte au moins

Constater : je peux le faire

Contenant : lâche pas

Contenté : par quoi, mon chou ?

Contourné : si tu veux

Contractant : t’aimes le camping ?

Contrôlé : dommage

Contumace : le pied

Convenu : pour rien ?

Converge : amis ?

Conversé : si tu veux aussi !

Convocation : ah bon ?

Convoyeur : ne te gêne pas

Police se gourre

Un de mes amis retraité m’a raconté l’aventure qui lui est arrivé il y a peu :

« Depuis que je suis à la retraite, je m’ennuie un peu. Alors, l’autre jour, je suis allé me promener en ville et je suis entré dans un magasin, pas pour acheter, juste pour regarder ….
Lorsque j’en suis sorti, il y avait un policier qui commençait à rédiger une contravention pour temps de stationnement dépassé.
Je me suis rendu en courant auprès de lui en disant: « Allons, Monsieur l’agent, soyez sympa, je suis jeune retraité »  …

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Il m’ignora et continua à écrire.
Alors mon sang n’a fait qu’un tour. Je l’ai traité de gros débile. Il m’a regardé et a commencé à écrire une autre contravention, parce que les pneus étaient soi-disant trop usés.
Alors, je l’ai traité de tête de lard. Il finit la deuxième contravention et la plaça sur le pare-brise avec la première.
Il commença ensuite à en rédiger une troisième pour injure. Et c’est là que j’ai commencé à le traiter de tous les noms, du style : saloperie de flic, poulet aux hormones, chien galeux, homme des cavernes, singe en uniforme, etc. …. Il rédigeait PV sur PV.
Personnellement, je m’en foutais un peu : j’étais venu au centre commercial en bus. Mais depuis que je suis à la retraite, j’essaie de trouver des trucs sympa pour m’amuser.
C’est vrai, quoi, c’est important de trouver des occupations à mon âge. »

Mona basourdie par ce vieux c..  : c’est ma bagnole. J’en ai pour plus de 500€

Mieux vaut en lire

Comme 90% des français, je lis dans le petit coin qui est l’endroit le plus tranquille de la maison : là loin des cris d’enfants, des remarques incessantes de la belle-mère, de la suractivité du matin, chacun peut s’adonner à la lecture.
Chacun a ses petites habitudes : l’un y amène son journal, un autre une BD, un autre un roman. Moi, je lis chaque matin le Dictionnaire Historique de la Langue Française. C’est un joli pavé en trois tomes dirigé par Alain Rey. Je trouve l’ouvrage parfaitement adapté au lieu. Les articles sont généralement courts, on n’est pas tenu de lire en suivant ; et chaque tome est suffisamment petit par la taille, peu lourd et se manie avec aisance (si j’ose dire).

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Et c’est fou ce que l’on apprend comme chose dans ces livres. Pendant que j’allège mes entrailles, je remplis ma cervelle. Rien ne se perd…

Ainsi ce matin, j’ai pu étudier la « pipe »…
Nom féminin issu du verbe piper (pipare : piauler, glousser) qui signifiait, vers 1180, pousser un petit cri pour un oiseau, ce sens reste dans certains termes de chasse pour imiter un cri d’oiseau que l’on veut attirer.
Un glissement s’opère au XVII° siècle : parler en phrases négatives; il nous reste « ne pas piper mot. »
Du langage des chasseurs, le mot a été repris par les joueurs : « les dés étaient pipés. »
Au XII° siècle, la pipe est un « tuyau, un goulot puis une futaille ou un contenant de liquide ». Au XVII° siècle, la pipe trouve enfin le fumeur… (puis la fumeuse ?)

Lépicurien en relisant cet article m’a suggéré de rajouter cette devinette qui l’a beaucoup fait rire :
Comment faire rire ses copains à la descente d’un avion ?
Montez à bord avec une pipe. Cet objet est encore autorisé. Lorsque l’avion est en vol, placez votre pipe sous votre siège et appelez l’hôtesse. Informez la que vous avez perdu quelque chose. Elle  vous aidera et trouvera sans mal ce que vous aviez posé.
Au moment de sortir de l’avion, lorsque le personnel vous salue, tournez vous vers votre hôtesse et dites suffisamment fort :
– Merci pour la pipe…

Mona fligée par l’humour de son chef… dur, dur

Mais elle sait répondre avec Jean Dujardin :

Au lit soit qui mâle y pense…

pommier-tentation

Une petite histoire qui sera sûrement plus appréciée par les Messieurs que par le Dames…

Un homme rentre chez lui tout guilleret et se précipite en fredonnant une musique légère vers l’armoire à pharmacie. Il s’empare d’une boîte d’aspirine.
Ce comportement intrigue sa femme. Et ce d’autant plus, qu’il ne lui adresse pas un mot.
Puis il se rend à la cuisine, s’empare d’un verre qu’il remplit d’eau. Il y dépose un comprimé effervescent. Pendant que le comprimé se noie dans l’eau, sa femme le plaint :
– Mon pauvre chéri, tu as mal à la tête… je te plains, je sais ce que c’est.

Le comprimé étant complètement dilué, l’homme tend le verre à sa femme. Cette dernière est surprise et dit :
– M’enfin, chéri, je ne comprends pas, je n’ai pas mal à la tête, moi…

Le mari de lui répondre :
– Dans ce cas, rien ne s’oppose à ce que nous fassions l’amour… !!!!

Mona, c’est pas tout çà, mais je boirais bien un coup. Un Saint-Amour, vin du Beaujolais, s’impose, n’est ce pas ?

Une flamme au foyer

C’est un gars qui rentre chez lui et qui trouve sa femme au lit avec un autre homme.
chandelier-specialA la vue de ce spectacle, ses forces sont décuplées, aussi il attrape le mâle encore à poils par le membre reproducteur et l’emmène sans ménagement au fond du jardin et le fait rentrer dans son atelier.
Là, il serre “l’objet du délit d’adultère” dans un étau ; il serre suffisament pour que l’amant ne puisse pas se sortir de ce piège. Il bloque l’étau, puis, il empoigne une scie à métaux…

Le prisonnier, qui n’en menait déjà pas large, est terrifié, et hurle :
– Hé !!!! Vous… vous… VOUS N’ALLEZ PAS ME LA COUPER ?!!!
Le mari trompé lui répond avec un sourire sadique :
– Non. Mais toi, oui … tu vas le faire, car je vais foutre le feu à l’atelier.

Bon, Mona, çà ne doit pas nous empêcher de boire un coup. Allez, un vin léger : un gamay de Loire qui ne vous coupera pas… les jambes.

J’ai de la cuite dans les idées

Une nouvelle qui va vous interloquer, peut-être même vous faire peur, gros épongeurs de binouzes… Il est possible que la bière contienne des hormones féminines. Ne pouvant laisser nos épiciuriens dans le doute, j’ai décidé avec quelques amis de vérifier ce que nous avions entendu. Pour ce, nous n’avons pas hésité à nous enfiler 10 mousses d’affilée. Qu’est ce que je ne ferais pas pour vous…????

femme-biere

Et bien, c’est un fait avéré. Après dix demis:

  • a) nous avions tous pris du poids, et çà nous tracassait,
  • b) nous parlions beaucoup pour ne rien dire,
  • c) nous racontions de plus en plus de conneries,
  • d) nous ne pouvions plus conduire une voiture correctement,
  • e) il nous était impossible de tenir un raisonnement clair, simple et cohérent,
  • f) nous refusions obstinément de reconnaître que nous avions tort même lorsque cela était tout simplement évident,
  • g) nous nous vexions pour un rien,
  • h) et puis… on allait pisser toutes les cinq minutes,
  • i) et enfin, le jury a tenu à souligner que, durant toute la durée de l’expérience, aucun rôt, ni même aucun pet n’ont été entendus. Ce qui est un signe irréfutable de plus.

bier_kuehlschrankCette étude a été menée avec toute la rigueur scientifique que vous nous connaissez et les résultats ont été constatés par un jury d’experts en bibines. Leur jugement est sans appel. Il est inutile de pousser les tests plus loin… C’est certain : il y a bien des hormones femelles dans la bière !

Bien entendu, chères lectrices, chers lecteurs, n’essayez jamais de reproduire cette expérience car n’oubliez pas qu’il faut boire avec modération et que seuls des épicuriens parfaitement entraînés peuvent aider les scientifiques à progresser dans la connaissance de l’être humain (et de la femme ?).

En attendant, Mona, j’ai une soif. Qui dit bière, pense souvent Alsace. Mais moi, là-bas, je vois plutôt de grands vins blancs. Aussi je vais déboucher une bouteille de chez Marcel Deiss. Jean Michel Deiss est un vigneron épicurien et adepte convaincu et convaincant du « complantage des cépages » de cette belle région. Un grand moment nous attend.

Cà dépasse les borgnes

johnny2Rappelez-vous, le 20 juin dernier, mon Cher Patron m’emmenait voir le show de notre Johnny national. Grand souvenir. Depuis, le chanteur a été hospitalisé quelques jours en août. Après avoir dû annuler le concert de la Réunion, pour cause d’épidémie de grippe A/H1N1, il doit reprendre la route le 25 septembre à Lille. En attendant pour ceux qui piaffent d’impatience, je vous propose cette mignonne petite histoire.

Laetitia demande à Johnny :

« J’aimerais faire un cadeau à mes neveux mais je ne sais pas quoi leur donner, tu as une idée ? »

Johnny réfléchit un instant et lui dit : « donne 5000 balles au grand  ! ! »

Laetitia : « Très bien mon Chéri, et combien pour le petit ? »

Johnny (en hurlant) : « Au p’tit qu’ 2000 !! »

Mona tend le retour de Johnny en écoutant la musique qu’il aime.

Comme miss agricole

taureau traiteUn concours de taureaux reproducteurs a lieu dans une de nos belles provinces. Lors de la remise des trophées, un couple de parisiens écoute attentivement la proclamation des résultats.

Le présentateur, en montrant un magnifique spécimen de bovin généreusement pourvu, annonce :
– 3eme prix pour le taureau Machie, 3 ans, 3 saillies par jour.

vache-et-femmeLa femme, tapant du coude son mari :
– T’entends ? 3 fois par jour !! Tu devrais en prendre de la graine !.

Le présentateur continue :
– 2eme prix, au taureau Hélé, 5 ans, 6 saillies par jour.

La femme de plus en plus excitée, attrape son homme par la manche :
– T’entends ?!… mais… tu te rends compte ???…

Le présentateur, après avoir savamment ménagé le suspens, reprend la parole :
– Et  maintenant, le 1er prix… ET… le vainqueur est le Taureau Botatif , 4ans et demi, …9 saillies par jour.

La femme rouge d’excitation éructe :
– Ouah, oauh, mais t’entends çà, ouah, ouah ?!!… c’est pas possible, oh la veinarde…

Le mari s’adresse alors au présentateur :
– Dîtes moi, Monsieur, je vous prie : les 9 fois par jour, est-ce avec la même vache ?

– Eh… bien sûr que non !!

Alors il dit à sa femme :
– T’entends ?

Vous ne riez pas Mona. Un petit gorgeon ? on se tape une vieille bouteille ? Allez un peu d’humour, quoi…