Au temps où la Joconde parlait

J’ai toujours aimé les romans historiques surtout lorsqu’ils sont signés de Jean Diwo. Ainsi, j’ai pu, il y a quelques années, partager la vie de Clémence de Francine au Château de Versailles, j’ai construit une cathédrale au coté de Renaud Pasquier.

Et je viens de partager la vie des plus grands artistes italiens de la Renaissance. Vinci, Botticelli, Raphaël et Michel-Ange ont peint devant moi durant plus de 500 pages…

Inutile de vous dire que j’ai aimé « Le temps où la Joconde parlait« . Jean Diwo s’appuie sur une documentation précise et abondante pour nous emmener dans les ateliers de Florence, Rome, Venise. On traverse l’Italie la France, la Flandre avec un jeune peintre sicilien Antonello da Messina pour  percer les mystères de la peinture flamande. On suit pas à pas les grands peintres déjà cités dans leurs chantiers, leurs voyages.

On souffre avec Michelangelo di Lodovico Buonarroti en train de peindre le plafond de la Chapelle Sixtine. On rit avec lui quand son ami et son aide, le peintre Daniele da Volterra est chargé par la Pape Paul III d’habiller les personnages du Jugement dernier. Ce peintre en tirera le surnom de « Braghettone »[i] . C’est lui qui sera appelé au chevet de Michel-Ange et qui recueille ses dernières volontés.

Mona tend vos commentaires quand vous aurez lu cette peinture de la Renaissance


[i] Le tailleur de caleçons

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