L’homme offre toujours un verre d’eau avec sa cage

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L’autre jour, j’ai ramené un amoureux vachement romantique. Il n’arrêtait pas de m’appeler sa petite colombe ou sa belle Colombine. J’ai trouvé ça touchant et pour un peu, je l’aurais gardé plus d’une nuit, vous dire ! Mais abuser, c’est le risque d’être prise pour un pigeon.

Bon assez de mièvrerie, demandons-nous pourquoi on parle de colombe ou de pigeon pour évoquer ces animaux volants qui peuplent nos cités et campagnes.

Durant fort longtemps, colombe désignait l’ensemble des columbidés. Mais la gastronomie a imposé le mot pigeon. En effet, depuis longtemps, les hommes ont préféré manger les jeunes oiseaux. Pigeon qualifiait tous les oisillons en référence à leurs cris dans le nid pour obtenir nourriture.

Mais ce qui est curieux c’est que colombe a conservé toutes les vertus de cet oiseau alors que pigeon est plutôt raillé.

Ainsi on parle de blanche colombe, symbole d’amour et de paix alors qu’on parle de pigeon pour une bonne poire, de quelqu’un qui se fait plumer, duper.

Heureusement le pigeon est symbole d’affection conjugale, de fidélité. Au printemps, ces oiseaux semblent passer leur temps à se bécoter. Et puis quelque soit l’endroit où vous lâchez un pigeon, il reviendra au domicile. Certes c’est une qualité, mais le retour se fait toujours vers une cage plus ou moins fermée. Et ça ce n’est pas pour Mona, mes chéris. Une cage même dorée  reste une cage et je crois toujours qu’un mari reste un geôlier. Alors le colombophile qui voudrait me baguer, il ne doit pas être né.

Pour tout vous dire, je préfère qu’on m’appelle Colombine. Je n’oublie pas que dans la Commedia dell’arte, elle est belle, malicieuse et mène Arlequin et Pantalon par le bout du nez. 

Mona un joli duvet… pour dormir et n’aime pas qu’on la prenne pour une pintade.

A nous les petites Anglaises

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Un coup de rein ?… tintin

Le troisième jeudi de novembre, c’est le jour du Beaujolpif. Dans le monde entier, des gars vont boire, ingurgiter, engouffrer, siroter, avaler, régurgiter, vomir bon an mal an quelques 450.000 hl de vin nouveau. Nous au Journal, on aime trop le vin pour sacrifier à ce rite. On boira un Morgon ou un Moulin à Vent, un Brouilly d’un joli millésime. Et là, on est certain de se faire plaisir.

Et pourtant ce jeudi sera l’occasion de faire le point sur le dernier millésime ; les journalistes nous indiqueront qu’on doit y trouver de la framboise ou de la banane et ne concluront que le millésime est bon ou très bon, voire exceptionnel jamais pas bon faut pas déconner ! Et puis après cette cérémonie bachique, on oubliera le Beaujolais pendant un an.

Si je ne sais pas encore comment on qualifiera ce millésime, je sais que 2014 est en berne pour les galipettes nocturnes. Selon une étude menée par et chez les Rosbifs, plus de 40 pour cent des couples britanniques déclarent avoir moins de relations sexuelles cette année. My God ! Quand on leur demande les raisons de leur désintérêt pour la chose, ils invoquent une vie trop trépidante, trop stressée. Pour 34%, leur job leur bouffe le temps et les épuise à tel point que lorsqu’ils rentrent le soir, ils ne pensent qu’à pioncer plutôt qu’à se donner du bonheur. Les chauds de la pince deviennent plutôt des gelés du gland. Et puis grand nombre (37%) estime que les soucis financiers dévorent leur envie de croquer la pomme aussi vite que leur écocroques.

Plus surprenant, 31% des sondés sortent moins leur goupillon moustachu à cause de leur clébard ou matou qui partage leur pageot avec leur conjoint.

Et plus traditionnel, 20% s’engueulent trop et dorment à l’hôtel du cul tourné. A noter que les disputes sont dues pour une bonne part à un climat ambiant d’incertitude.

Pour ceux qui savent compter, en additionnant les divers pourcentages, on arrive à 122%. Avec l’esprit de perspicacité qui nous anime, on en déduit qu’il y a des British  cumulards, autant dire que ceux-là, ils ne sont pas prêts de rejoindre les deux séances hebdomadaires souhaitées par les couples. Aussi lorsque Papa et Maman réussissent à emmener le petit au cirque, ils ont pas intérêt à rater la séance faute de quoi, ils risquent d’attendre longtemps avant la prochaine représentation.

Aucune étude n’ayant été publiée en France, difficile de dire où nous en sommes coté matelas. Mais les Français étant les plus pessimistes d’Europe, ils ne doivent pas recevoir beaucoup de flèche de Cupidon dans le cœur.

Bon Mona, je sais que chez vous le moral est au beau fixe et que vous continuez telle une marathonienne à un entrainement quotidien en diversifiant les expériences. Et s’il est encore possible d’augmenter encore votre félicité, je vous invite à boire le Bouzeron 2011 de Paloma et Aubert de Villaine. Cet Aligoté est d’une belle fraîcheur mêlant agrumes et notes miellées.     

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Marina d’Ovainrouge me demande un avis sur un article qu’elle a picoré sur Daily Mail. Une femme affirme que depuis qu’elle boit trois litres d’eau par jour, elle a rajeuni de dix ans. Sarah Smith est une british de 40 printemps qui souffre de maux de tête et de problèmes digestifs liés à une constipation chronique. Autant dire le lot de nombreuses femmes si j’en crois les toubibs. Bon passons.

Elle raconte qu’après chaque semaine de ce régime aqueux (ce qui a du plaire à son mari), la transformation est spectaculaire. Après une semaine, le teint de madame s’est amélioré, les ombres sous les yeux sont moins visibles. De plus, je suis moins essoufflée après un effort, dit-elle. Dès la troisième semaine, les cernes se sont envolés, la tonicité est de retour. Après quatre semaines, Sarah ne se reconnait même plus dans la glace. Sa peau est celle d’un bébé grassement nourri au sein, elle a retrouvé une ligne de jeune pubère.

Marina qui se trouve moche comme un cafard de la poubelle d’un tuberculeux, souhaiterait essayer ce régime aux résultats si miraculeux.

Well, comme ils disent de l’autre coté de la Manche. Ma chère Marina, si vous buvez trois litres de flotte, c’est pas mal même si certains médecins jugent que la quantité suffisante pour un bon drainage est de 1.5litre par jour. Cependant, j’attire votre attention, ce régime implique la fréquentation assidue des toilettes. Il vous faudra soulager votre vessie de nombreuses fois par jour. Autant dire que si vous êtes invitée, demandez à vos hôtes de vous servir dans les cagoinces, ça vous évitera de fréquents déplacements.

Quant au résultat, je ne crois pas que vous obtiendrez le résultat de Sarah. Vous ne rajeunirez pas de dix ans, vos rides seront toujours là. Une photo montrant avant et après est souvent un piège. En analysant le cliché ci-dessous, j’affirme que le photographe a utilisé Photoshop pour obtenir ce résultat. Une preuve ? Sous l’œil gauche, un grain de beauté disparait comme par enchantement après quatre semaines.

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Je suis désolée de briser votre rêve, ma Chère Marina d’Ovainrouge. Mais comme disait Ann Landers, journaliste et écrivain américaine : «Une vérité nue est toujours meilleure qu’un mensonge habillé.» J’ai d’ailleurs un copain qui a remplacé vérité et mensonge par Mona et ça fonctionne plutôt bien.

Mona bu de l’eau certes, mais elle préfère le vin car «Vinum bonum lætificat cor hominis» (Le bon vin réjouit le cœur de l’homme).

Crotte, alors !

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Chaque pays a ses spécialités. Nous en France ce sont les déjections canines qui fleurissent sur nos trottoirs. Vous êtes en train d’admirer la flèche d’une cathédrale lorsque votre pied s’enfonce mollement dans un étron déposé par un toutou à sa mémère qui chaque matin vient déposer un paquet sur son parcours habituel. A noter que bien entendu le proprio du clébard évite soigneusement le trottoir qui jouxte son domicile.

A San Francisco, si vous levez la tête pour admirer la taille d’un immeuble, vous pourrez glisser votre godasse dans une belle crotte. Or dans cette ville, il y a peu de chiens. Alors pourquoi, merde ! Et bien figurez vous que les Etats Unis riches comme Crésus ne pensent pas indispensables de payer des toilettes publiques pour ces salauds de pauvres qui ne peuvent pas se payer de logement. Aussi, ces êtres humains décorent parcs et jardins, terrasses et toits et même les trottoirs profitant de l’obscurité ou de la protection d’une voiture garée pour soulager leur tripaille. Une jeune habitante a eu une bonne idée. Elle propose une carte de la ville avec les endroits les plus piégeux.

A quand la même initiative pour nos grandes villes ?

Ma Chère Mona, difficile transition. Mais quand il faut, il faut. Je vous propose un vin italien de DOCG Colli di Connegliano (Vénétie) : Torchiato du Fregona 2009. Quel vin ! Comme si on avait assemblé un liquoreux et un vin de voile. Mona hâtez-vous !  Courez acheter un fromage bleu ou une vielle pâte dure que nous cherchions le mariage parfait. Un moment d’extase, dommage que la bouteille ne fasse que 50 cl….

Echange lingual

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J’ai déjà eu l’occasion de vous entretenir du French Kiss, cette spécialité si française que le monde entier a adopté sans jamais égaler notre savoir faire. Et pourtant je vous ai informés en son temps qu’un couple de Thaïlandais avait échangé un baiser de plus de 32 heures, de quoi avoir les lèvres en sucette. Malgré cette concurrence, notre réputation reste intacte. On vient de loin pour se rouler un patin dans la capitale de notre pays.

Mais rappelez-vous, j’avais déjà attiré votre attention, l’échange buccal n’est pas sans risque et je ne parle pas du mec qui vous mord sauvagement la langue mais de l’avalanche de saloperies que nous nous nous refilons par un simple bécot amoureux. Une équipe scientifique néerlandaise affirme qu’avec un simple baiser, nous échangeons 80 millions de bactéries. Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont demandé à une vingtaine de couples de se prêter à une expérience. Un membre de chaque couple absorbait un yaourt contenant des bactéries qui ne logent habituellement pas dans notre palais. Après un baiser langoureux, un prélèvement était pratiqué sur son partenaire. On retrouvait en grand nombre les bactéries chez ce dernier.

Bon, c’est intéressant que des mecs s’intéressent à notre bouche. Mais en ce qui me concerne, cette information qui ne me semble pas nouvelle ne m’empêchera pas de bouffer de la langue. Moi sans échange de salive, je prends moins mon pied quand le gars commence à explorer mes roploplos ou mon arrière boutique.

Mona toujours été sentimentale. On se refait pas.

Cui…cuit

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De nombreux naturalistes, dont Marc Giraud tirent la sonnette d’alarme. Les oiseaux européens disparaissent par millions dans l’indifférence générale. En 30 ans, 421 millions de moineaux, hirondelles, alouettes… manquent à l’appel. On en connait les causes. Les méthodes agricoles aux mains des multinationales de la chimie détruisent systématiquement les insectes. Les oiseaux qui s’en nourrissent meurent empoisonnés ou de faim. Et c’est vrai que les plus anciens d’entre nous se souviennent qu’enfant, au moment de la rentrée scolaire, ils baladaient dans une boîte d’allumettes un hanneton. De nos jours cet insecte lourdingue est devenu plus rare qu’un cheveu blond sur le crane d’un bonze. De même, on peut rouler pendant des centaines de kilomètres sans qu’un seul moustique ne vienne s’écraser sur votre pare-brise alors que dans les années soixante, il fallait évacuer fort régulièrement des cadavres sanguinolents de minuscules bêtes ailées venues s’y suicider. Egalement, on réduit chaque année les habitats des volatiles les privant de reproduction et le lobby fort puissant des chasseurs flingue à coup de fusils de plus en plus précis les derniers gibiers volants.

Enfin, comme si cela ne suffisait pas, des études révèlent qu’une hausse des températures probable de 1.2°C éliminerait 30% des oiseaux fréquentant l’Europe.

Ma Chère Mona, une telle hécatombe devrait nous glacer d’effroi. Mais il n’en est rien. Nous assistons à leur disparition en chantant et en sifflant… Difficile d’enchainer mais le devoir nous appelle. Buvons ce vin blanc des Côtes de Bourg : Château de la Grave, Grains Fins 2013 est un original assemblage de Sémillon et Muscadelle élevé en barriques. Un vin au nez d’agrumes et de notes vanillées, une bouche fraîche, puissante.  

Ce sera sans moi

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Vous savez que je suis bonne fille et j’ai un tel respect pour Lépicurien, mon patron adoré que je sais lui refuser quoi que soit. Bandes de dégoutants, pas ce à quoi vous pensez obsédés du gland. Comme tous les hommes vous avez le cerveau dans le calbute. Mais ne disgressons pas. Pour la première fois ce jeudi, je lui ai dit NON. Et je dois vous dire que ça ne m’a même pas coûté. Vous vous rendez compte, j’ai franchi le Rubicon sans aucun regret. Certes après ce refus, je rosis en baissant les yeux. Mais je l’avais dit…

Quel est la raison de ce Non ? Figurez-vous que le boss croyant me faire plaisir se proposait d’acheter un Beaujolais Nouveau en ce troisième jeudi de novembre.

Un refus c’est bien, mais fallait-il encore s’expliquer. Ce fut fait avec célérité, force et persuasion. Je lui dis que j’aimais trop le vin et les Crus du Beaujolais pour assimiler ce liquide à un vin digne de mon palais ; je rajoutais que je gardais toujours le souvenir de celui de l’an dernier qui avait traversé rapidement dans les deux sens mon œsophage. L’aller fut à peine passable, le retour franchement acide. Et qu’enfin étant trop snob pour partager ces agapes de fin de chantier ou ces réunions de troquets armés de ballons de comptoir, je préférais ce soir là boire un bon Champagne avec un bon gars du Beaujolais.

Mona pas digéré le pif de l’année dernière. Y a de quoi être en colère, non ?

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Journée Mondiale

C’est la journée mondiale des toilettes. Certes ça peut faire sourire d’autant plus lorsque cela précède d’un jour l’arrivée du Beaujolais Nouveau. Et pourtant 2.5 milliards d’humains, notamment en Afrique et en Inde, n’ont pas de commodités et continuent à se soulager dans la nature, ce qui n’est pas sans conséquence sur leur état de santé. Ah, il est certain que ça fait moins rigoler…

Hormis des problèmes de budget, il faut changer les mentalités. Ainsi les autorités indiennes ont lancé une campagne Clean India pour accélérer l’accès aux toilettes dans tout le pays et éduquer les gens à les utiliser.

INAUGURATION DE TOILETTES
INAUGURATION DE TOILETTES

Une femme sans mari est un champ sans pluie. (Proverbe Indien)

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Mona,
Je suis jeune mariée depuis quelques jours et je découvre que mon mari dresse chaque matin un petit tipi dans nos draps de soie alors qu’il semble encore dormir. Est-ce à dire qu’il me trompe déjà dans ses rêves, que je ne suis déjà plus la plus belle pour aller danser ? Comme je suis inquiète, j’y pense ce qui me réveille chaque jour de bonne heure et je constate que le chapiteau est quotidiennement dressé. Même si je ne suis pas encore très expérimentée, je fais tout ce que je peux pour son plaisir et lui offre plusieurs fois par nuit ma tirelire. Dois-je lui en parler ? Dois-je pleurer en silence ? Inutile de vous dire que j’attends votre réponse au plus vite.
Sabine Alamin

Holà, Sabine, vous n’avez pas du beaucoup pratiquer le sport en chambre avant de vous faire baguer… Généralement un mec il a un gourdin jusqu’à ce qu’il aille vous saloper la lunette. Une fois qu’il a changé l’eau des poissons, sa baguette se ramollit. Quant à son activité nocturne, difficile de dire à qui il rêve quand son membre prend des allures de matraque de CRS alors qu’il ronfle sous l’ombre bienveillante du marchand de sable. Et ce la se produit environ deux à trois fois chaque nuit. Les toubibs qui pensent qu’aucune activité physiologique n’est gratuite, supposent que le tricotin nocturne servirait à conserver les tuyauteries du zizi en bon état de marche. En effet, la trique du matin apporterait de l’oxygène à l’andouille de Monsieur nécessaire au bon fonctionnement de son trois pièces à col roulé. Donc ma chérie, le terrain de camping que votre mari dresse à vos cotés est plutôt bon pour vous. Le jour ou plutôt la nuit où il ne lèvera plus les couleurs, vous pourrez vous inquiéter. Il risque d’avoir plus de mal à vous honorer. Et la boîte aux pilules bleues arrivera sur son chevet…
Voilà, ma belle, réjouissez-vous, une bonne gaule au matin, c’est assurer le soir son gros câlin.

Mona fait tellement rêvé de mecs qu’elle n’est pas surprise en voyant chaque matin le plus grand chapiteau du monde. Et pourtant elle habite pas rue du Cirque.

Corset… ré

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Durant des siècles, la femme portait des corsets qui la comprimaient pour conserver une ligne de jeune fille. Heureusement, ces pratiques d’un autre âge ont disparu. Disparu ? Certes, mais une mannequin en mal de célébrité et admirative de comics et de dessins animés a porté durant sept ans un corset pour obtenir une taille de guêpe. En laçant chaque jour un peu plus, elle a réussi à métamorphoser son corps avec un tour de taille de 40 cm. Le résultat est bluffant, on croirait une transformation numérique. Comme la petite a du se faire également souffler dans les airbags, le contraste est saisissant. Bon, le problème c’est que pour obtenir ce diamètre, on comprime les organes ce qui peut générer de gros problèmes de santé. Actuellement, Kelly Lee Dekay connait quelques gênes respiratoires et elle ne peut soulever des objets un peu lourds. Mais ayant réalisé son rêve de petite fille, elle trouve ces désagréments bien mineurs.

Sans vouloir être oiseau de mauvais augure, j’espère que cela en restera là et qu’avec les ans, son rêve ne tournera pas au cauchemar.

Bon Mona, vos proportions étant quasi parfaites, j’espère que l’idée de transformer quoi que ce soit ne viendra jamais frapper l’un de vos neurones. Bon, en attendant, allons titiller la bouteille au goulot si fin et à la base si solide. Direction Buzet pour un vin blanc : Bardenerie 2010 du Domaine du Pech. Un vin 100% de Sauvignon aux aromes si particuliers qu’il est difficile de reconnaître ce cépage. Mais, c’est tellement bon qu’on dirait un liquoreux sans sucre, et que le verre vide, on le tend pour retrouver ce plaisir.