C’est pour votre seinté…

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Bon autant vous le dire mes seins se tiennent tout seuls droits comme des obus et si je mets un soutien-gorge, c’est plus pour la beauté des dentelles que pour les soutenir. Et pourtant, ma devanture n’a rien à envier à celle de Jayne Mansfield. Mais que voulez-vous, quand on frise la perfection…

Bon, ceci étant dit, je suis bien obligée de penser à toutes celles qui n’ont pas la chance d’avoir des roplopos qui tiennent debout tout seuls ; les pauvrettes, sans monte charge, elles se retrouvent avec les nibards qui pendent comme des sauciflards dans une charcuterie corse.

Donc mes chéries, vous qui portez un soutien-gorge, Carolyn Forte, directrice du laboratoire GHI Cleaning Lab, vous conseille de ne pas le laver chaque jour car il perd de son élasticité au fur et à mesure des lavages. Or, quand l’élasticité a disparu, c’est fichu…  Votre pare-chocs sera moins soutenu. Et si vous avez une belle paire, le risque c’est de vous tenir un peu cambrée et d’avoir des douleurs au niveau du dos.

Mona un surnom : Beautiful-boobs.

C’est gonflé

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Que les choses soient claires. Ma paire de nibards n’a subi aucun traitement de quelque nature que ce soit. Il est vrai qu’ils sont beaux mes roberts : ronds, fermes, droits, remplissant généreusement la main d’un homme.
De là à blablater, à répandre du fiel : Mona, elle a des implants, ça c’est sûr… Et bien non, bandes de méchants, c’est Dama Nature qui s’est penchée sur mon berceau pour que je sois une étoile au firmament de la beauté. Mon avant-scène généreuse en rend jalouses, fait baver les hommes aussi fort qu’un escargot en train de jeûner. Et c’est bien sans artifice, que ma devanture attire les regards … et les mains.

Oui je sais à notre époque le faux règne en maître. Ainsi chez l’oncle Sam, des médecins ont trouvé un filon qui leur rapporte un max de pognon. Pour ce, ils utilisent une méthode qui sert habituellement à montrer in vivo aux patientes qui vont se faire poser des implants le volume qu’auront leurs lolos après l’opération. L’injection d’une solution saline augmente en effet la taille des appas pour quelques heures.

Si une jeune fille le jour des ses noces veut offrir un balcon confortable à son futur ou si une dame veut porter une robe fort décolletée le temps d’une soirée, elle passera chez le toubib qui lui fera deux piquouses, une dans chaque pare-choc et elle aura une poitrine de star. Puis naturellement l’organisme nettoiera le liquide et les ploplos reprendront leur dimension initiale. Attention quand même, si ce liquide est inoffensif, une pratique trop fréquente peut altérer vos seins et les transformer à la longue en gants de toilettes. Et puis je pense à la tronche du jeune marié qui se sent volé au réveil…

Mona une chance incroyable d’être aussi bien foutue.

Je suis une vraie bombe

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De quoi avoir de l’avancement !

Ma bonne Mona,
Je lis chaque jour votre Journal et cela m’aide à survivre. Survivre, me direz-vous ? Cela est bien triste. C’est vrai et vos articles ne sont pour rien à mon moral aussi noir qu’un bougnat portant ses sacs de charbon. Laissez-moi vous partager ma peine. Mon mari depuis de nombreux mois ne s’intéresse plus à moi et ne me ramone plus jamais le conduit. Il me dit que je me néglige et que mon balcon poitrinaire s’est envolé ; ne restent que deux gants de toilettes ou si vous préférez deux oreilles de cocker. Quand à mon valseur, il a fondu comme neige au soleil et mon Jules il dit que sans une bonne paire de miches, il peut pas enfourner. Excusez ce langage un peu cru (c’est normal sans enfournage  que ça soit cru) mais je ne fais que reprendre les mots de mon homme. Par contre, il ne dédaigne pas se faire aspirer le glandulaire en me complimentant sur mon entonnoir buccal qui semble toujours prêt à sucer des boutons de porte, si vous voyez ce que je veux dire. Lui cette vie semble lui convenir, mais moi je déprime. J’ai le frisotin qui se rappelle à mon bon souvenir et si ça continue, je vais devoir agresser une équipe de spéléologues périgourdins pour qu’ils explorent mon sous-sol laissé en friches. Je dois vous dire, Mona, que vous possédez de superbes appâts et des rotondités postérieures qui provoquent chez moi un regard admiratif et jaloux à la fois. Aussi ô Callipyge que la nature a si richement dotée, soyez aimable de me donner quelques conseils pour arrondir tant mes misérables avant-scènes poitrinaires que mon pauvre joufflu rachitique.

Armelle Lamoi

Ma chère Armelle,
Votre courrier m’a tirée quelques larmes. Je n’imagine pas la souffrance que de ne plus avoir de loup qui vienne occuper votre tanière ou si vous préférez, de ne plus avoir de goinfre qui vienne tremper sa cuiller dans votre soupière brûlante. Moi qui use les hommes au rythme d’un par jour (ou plutôt par nuit), j’ai le chaudron qu’est toujours en état de marche et c’est tant mieux. Bon, revenons à vous et votre manque de matériel. J’aurais du mal à me baser sur mon cas car mes superbes roploplos et ma magnifique arrière-boutique me sont venus naturellement et je n’ai jamais rien à eu à faire pour les maintenir dans leur perfection originale. Mais je me suis rapprochée de Sophie, une amie qui comme vous avait sa devanture et son pont-arrière aussi rembourrées qu’un kleenex. Or, elle a maintenant un balcon suffisamment profond pour y faire pousser des plantes grasses et des meules tendues comme des tambours de la garde républicaine.

Pour sa poitrine, Sophie Fonsec a commencé par prendre des douches d’eau froide en remontant le jet de bas en haut sur ses roberts. Chaque jour, elle appliquait des crèmes sur ses éponges à lait. Mais trouvant que le résultat se faisait trop attendre, elle a préféré passer sur le billard. Quant à son valseur, elle utilise un leurre en enfilant des sous-vêtements spécialement conçus pour redonner du volume aux fesses. Le seul hic, c’est que dans l’intimité, votre mec n’y trouvera pas son compte. Mais elle s’est mise à la muscu et un coach lui a sélectionné des mouvements qui augmenteront sa masse fessière dans les mois à venir.

Voilà, j’ai conscience de ne pas être suffisamment exhaustive mais si vous le souhaitez, Armelle, je peux vous mettre en relation avec mon amie qui vous conseillera mieux que je ne pourrais le faire moi qui suis si éloignée de ces préoccupations.

Mona des pare-chocs de compétition. 

Appâts toucher

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Tous les témoins de l’époque sont d’accord, Virginia Oldoïni, Comtesse de Castiglione était la plus belle femme du Second Empire.

Horace de Viel Castel décrit dans ses mémoires la tenue que portait la maîtresse de Napoléon III au bal de la Marine du 18 février 1857 :

Quant à la Comtesse de Castiglione, elle portait avec insolence le poids de sa beauté, elle en étalait les preuves avec ostentation, nous ne saurions dire qu’elle était décolletée, mais nous pouvons affirmer la nudité de sa gorge qu’entourait à peine une gaze zéphir, l’œil en suivait le contour et les moindres détails, enfin la partie que la gaze elle-même laissait complètement à découvert s’étendait jusqu’au bout du sein.
La fière comtesse n’a pas de corset ; sa gorge est vraiment admirable, elle se dresse fièrement comme la gorge des jeunes Mauresques : les attaches n’ont pas un pli, en un mot les deux seins semblent jeter un défi à toutes les femmes.

La Castiglione est une courtisane comme les Aspasie[1], elle est fière de sa beauté et ne la voile qu’autant qu’il le faut pour être reçu dans un salon.

Un homme lui a dit en fixant sa gorge :
Je les connais maintenant les deux superbes rebelles à tout frein ; prenez garde, Comtesse, tout à l’heure les vêtements des hommes vont devenir trop étroits !

Cela est plus que leste, cependant le propos n’a pas déplu à la comtesse. Il faut dire qu’elle goûtait les plaisanteries graveleuses. Ainsi un soir, chez Mme de Pourtalès, Vimercati lui tendit un drageoir rempli de bonbons à la fleur d’oranger, en lui disant :
– Comtesse, aimez-vous sucer ?…
– Sucer quoi ? répondit Virginia en éclatant d’un rire égrillard. Les témoins, pourtant habitués à une certaine licence, demeurèrent pantois…

Mona, lorsque j’écrirais mes mémoires, je décrirai les tenues insolentes mais que vous portez avec tant de grâce et je chanterai votre beauté tel un ménestrel. Mais en attendant, il temps de boire un coup : Château Belle Garde blanc 2012 est un Bordeaux idéal pour un apéro. Frais, fruité, il vous mettra en appétit.

[1] Femme intelligente et libre à une époque où les femmes étaient confinées au gynécée. On retient surtout d’elle qu’elle fut la maîtresse de Périclès.

Femme, vos reins sont trop acides

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Ma chère Mona,
Je suis au fond du trou, comme aime à le dire mon mari. Ce dernier, après quelques mois de mariage, me parle de divorce. Il ne supporte pas mon absence de pare-chocs. Il me dit que mon avant-scène est aussi épaisse qu’une médaille du Mérite et qu’il a l’impression de coucher avec un mec. De plus, étant poète à ses heures, il ajoute qu’il n’aime pas le poisson et donc qu’il ne peut pas supporter de dormir à coté d’une sole ou d’une limande.  Il m’impose de passer entre les mains d’un chirurgien et de me faire mettre des airbags assez gros pour remplir ses pognes. Comme il a du flouze à plus savoir qu’en foutre, j’ai décidé librement de l’écouter et je vais choisir des implants de grosse taille pour ressembler à la Cicciolina. Je vais lui offrir une devanture tellement avantageuse qu’il s’en fera une cour de récréation nocturne. C’est pas des oranges que je vais y mettre à mon balcon mais des Cavaillon. Ah, Monsieur veut des nibards, il va être servi ; c’est lui qui va devoir se faire agrandir les paluches. Tant qu’à me faire refaire le décolleté, autant choisir des flotteurs XXL ; mon balcon, il sera tellement impressionnant qu’on pourra y faire pousser des plantes grasses ou des plantes aromatiques. Mes mappemondes seront tellement imposantes qu’il devra me payer un supplément pour monter dans un zinc.
Pensez-vous qu’une fois ma vitrine regonflée par Bibendum, je ne risque pas de perdre celui que j’aime autant que mon compte bancaire. Votre avis, Chère Mona me sera précieux.
Cordélie Mande

Cordélie,
Que vous aimiez votre husband au point de développer votre vitrine mammaire est louable. Cependant à travers vos propos, je sens de l’amertume, de la colère qui ne sont jamais bonnes conseillères. Et si une augmentation de votre jabot apportera apaisement dans vos relations matrimoniales, il n’est pas nécessaire de passer de la taille balle de ping-pong au ballon de foot pour combler votre homme. Pensez qu’un développement exceptionnel des poumons n’a pas que des avantages. La femme se trouve réduite à une paire de roberts sur pattes qui certes fait fantasmer les mâles en rut, mais fait oublier tout le reste de sa personnalité.
A titre d’exemple, je vous rappelle que Jane Russel, richement dotée par Dame Nature, supporta difficilement son statut et a fui la presse toute sa vie. Aussi entre la planche à repasser et le ragoût de poitrine, il y a un juste milieu. Pensez-y avant de passer au bloc !

Mona tout ce qu’il faut pour s’asseoir et respirer.

Saouls de bains ?

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Il y a encore deux ans, les maillots de bain pour dames utilisaient si peu de tissu que les messieurs avaient une vue imprenable sur leurs attraits. Comme de plus, elles utilisaient peu le soutif, les mecs pouvaient se rincer l’œil à peu de frais. Mais cette année, le changement est radical. Le string a laissé place au shorty qui cache plus que l’essentiel et autorise Maman à ne pas se ratiboiser le maillot sans que le persil ne dépasse du cabas. Les roplopos sont remisés dans de jolis bonnets. Avec le tissu utilisé pour un maillot cette année, on pouvait en faire dix les années précédentes. Vous dire !
Les ventes de maillots de bain une pièce ont pratiquement doublées en un an. Les femmes interrogées estiment à 46% que bronzer les seins nus est impudique alors que 31% des hommes partagent cet avis. Curieux, non ?

Cependant une région aime exposer ses récréations de Papa, c’est le Sud-Ouest : 63% des femmes ont déjà mis leurs pare-chocs sous les rayons du soleil alors qu’elles ne sont que 43% dans le Sud-Est et moins de 33% en Bretagne.

Mona m’a confié que cette année, elle a acheté un maillot vintage, style année 50 et n’a pas sorti ses lolos pour les faire dorer.

Ma chère Mona, la mode est un éternel recommencement. On était arrivé à une telle réduction du tissu qu’il fallait faire marche arrière. De là à nous enlever aussi vite tout aperçu sur vos appâts, il y a de la frustration sur le sable… Bon en attendant, buvons un coup. Ma chère, je vous propose le Château de Brézé blanc 2012. Ce  Saumur à base de Chenin est élégant, frais.

Sein, ni touche

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Décidément les mecs sont tous des gros porcs. Oui je sais comme introduction, c’est un peu hard. Mais ma déception ce matin fut aussi forte que le balcon de mon corsage. Figurez-vous que j’étais au bureau travaillant sur votre journal pour que tout soit parfait, mes petits chats, lorsque vous lisez notre prose. Lépicurien que j’admire pourtant tant, se ramène avec une impression fraîchement encrée sortant direct de sa boîte mail. Un de ses potes lui avait envoyé ce texte que l’on peut traduire comme tel :
Rapidement les femmes paieront des hommes pour sucer leur poitrine. En effet des médecins recommandent pour réduire le risque de cancer du sein de se faire caresser et suçoter les seins. Cette succion régulière diminue le risque de cancer. Les seins doivent être aspirés et caressés aussi souvent que possible. Et ça se termine par une exhortation appelant les hommes à participer activement à la réduction de cette terrible maladie.

Lépicurien, il pouffe à gorge déployée et me propose ses services pour suçoter mes pommes d’amour. Non mais vous vous rendez compte. Quel mufle ! Je lui dis, ne souhaitant pas ouvrir des hostilités, que je réfléchirai à sa proposition.   

Une fois le boss retourné dans son burlingue, je plonge sur la toile et visionne le site de BBC News à l’origine de cette information. Bizarre, damned, point une ligne n’encourage les femmes à se faire brouter la devanture lactalis. Aucun site sérieux ne reprend cette pseudo-information. Seuls quelques forums relaient cette connerie sans vérifier quoi que ce soit.

Considérant que le sujet ne peut être maltraité quand on sait les dégâts que ce cancer occasionne, je me lève et me rends auprès du patron. Mon regard est aussi noir qu’un morceau de houille sortant d’une mine galloise.

Lépicurien ne se marre plus, il sent que mon fort intérieur bout aussi fort qu’une cocotte-minute sur la gazinière de ma grand-mère préparant de la joue de boeuf. Il pressent que mon intrusion dans son antre n’est pas fortuite et que je vais donner une suite à son papier… qui ne lui sera pas favorable.

-Alors Mona, vous voulez faire du préventif, glisse-t-il impudiquement au milieu d’une rire jaune ?
-Patron, vous savez l’admiration que je vous porte. Mais là vous me décevez. Vous qui m’avez toujours invitée à vérifier mes sources avant toute publication, vous avez envisagé de me peloter les lolos à la lecture d’un simple mail. Monsieur Lépicurien, sachez que mes roploplos, je les réserve à ceux qui partagent ma couche et que les caresses qu’ils m’accordent ne sont pas pour prévenir je ne sais quel mâle mal, mais pour me préparer au grand saut de l’amour. A l’avenir, Patron, ne me présentez des requêtes de ce genre qu’accompagnées de textes issus du The New England Journal of Medicine. Merci.

Vous auriez vu la tronche du boss. On aurait dit un bouledogue qui vient de s’écraser la gueule sur un bec de gaz, sonné comme un boxeur qui vient de recevoir un uppercut au foie. Ratatiné dans son fauteuil comme une figue qui sèche au soleil de Turquie. Et je sors de sa case les lauriers au vent. Ah purée, une telle claque, ça revigore mon moi et réduit le sien…

Bon les filles, ne vous laissez pas abattre. N’oubliez jamais que l’homme, il réfléchit plus avec son bas ventre qu’avec son cerveau. Le remettre en place de temps à autre abaisse son taux de testostérone et l’aide à penser en utilisant un peu plus sa cervelle et un peu moins ses parties intimes.

Mona eu un coup de sang. 

Paires inconnues ?

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Je pense que vous connaissez les fameux couples de Dubout. Madame, grande plantureuse à souhait, ayant un balcon genre obus et Monsieur, petit chauve, maigrelet. On retrouve ces personnages dans de nombreux films muets et comme de bien entendu, c’est Maman qui mène les opérations et son bonhomme la suit comme un caniche sortant de chez le toiletteur. Ces couples sont source de rires.

Et dans la vraie vie le bonheur est-il au rendez-vous pour ces hommes ? Pas toujours. J’en veux pour preuve l’histoire d’un petit gars américain qui a pour copine une certaine Donna Lange équipée d’air-bags gros comme des parachutes. Pendant quelques temps, il s’amuse avec les mappemondes de Madame. Que du bonheur ! Enfin jusqu’à ce qu’ils s’engueulent. Donna profitant de sa grande taille et de son avantage de poids, plaque le julot sur le pieu d’amour et applique ses mamelles sur le visage du petit. Des témoins appellent la police. A leur arrivée, ils trouvent Donna à califourchon sur son gigolo, sa paire de nibards étalée sur le pif et la bouche du petit. Quand ils la soulèvent, il est trop tard, le mec est bleu-violet. Il calenchera sur le chemin de l’hosto.

Et Donna n’est pas la première meurtrière à avoir agi avec ses lolos comme arme. Et puis même sans intention de tuer, certaines femmes particulièrement gâtées par la nature ont failli étouffer leur petit bonhomme. Ainsi une mère de famille anglaise allongée sur son mari l’entendait gémir et le sentait s’agiter violemment. Prenant cela pour de l’excitation, elle insista. Heureusement, elle libéra un instant le pauv’gars qui eu du mal à reprendre conscience. Quelques temps plus tard, il se sépara de sa matrone. Il se murmure qu’il cherche une bergère plate comme une planche à repasser.

Chat mouillé craint l’eau froide !

Mona, j’ai déjà eu l’occasion de vous féliciter pour la beauté de votre balcon généreux sans occuper tout l’espace et puis vous savez mettre en évidence votre devanture : une sorte de perfection. Mais enfin, on n’est pas là pour ça. Je vous invite à remplir votre jabot avec un vin de Bourgueil : Le Grand Clos 2009 de Yannick Amirault. Un grand vin encore bien jeune, épicé et long en bouche.

Attention à tes glandes, ma mère….

Vous le connaissez le Patron maintenant, vous savez qu’il fait rarement dans la dentelle. Aussi quand, hier, il m’a regardé bien en face mais visiblement pas à hauteur des yeux, je me suis doutée qu’il allait ma lâcher quelque chose. Et, en effet, il m’a lancé :

-Excusez-moi, ma chère Mona, d’être aussi direct et indiscret mais je remarque qu’il y a de plus en plus de monde à votre avant-scène.
-Plait-il ? Boss, arrêtez de parler en image, de quoi causez vous ?
-Si voulez je constate que vos appâts font de plus en plus airbags gonflés à l’hélium.
-Comprends pas … Soyez clair, Lépicurien.
-Heu, heu, je veux dire que si vous tombez à l’eau, vous n’aurez pas de problème avec les flotteurs dont vous êtes équipée ; en un mot, votre poitrine a pris du volume. Et je me pose la question. Est-ce naturel ? Sont-ce les bienfaits de la chirurgie ou l’emploi d’un wonderbra qui vous a aidé à souffler vos petits trésors ?  

Je n’ai pas rougi, mais il s’en fallut de peu.

Mais vous savez sans doute, mes petits chats, que je ne suis pas un cas isolé. En effet, même si je n’ai jamais eu de plates médailles de sauvetage pour remplir mon soutif, je ne suis jamais tombé dans la famille de celles qui font du ragoût de poitrine. Non, j’ai toujours eu de jolis obus qui m’ont valu les compliments de pas mal de mâles connaisseurs en matière de tétons. Par exemple : Avec ton balcon, y’a tout pour s’amuser, poupée, car il y a du beau monde, bravo !

Sur ce blog, nous avons déjà eu l’occasion de nous intéresser à nos pare-chocs matelassés. Et même, si les Française ne sont pas les plus pourvues, en ces temps de crise, il faut constater (si j’ose dire) que le sein, c’est la seule chose qui croît aussi vite que les impôts.

Certains indices ne trompent pas :

  • Une marque de lingerie propose depuis peu des bonnets « L » car le nombre de femmes ayant de très fortes poitrines est en accroissement régulier.
  • Si 75% des interventions chirurgicales touchant aux lolos ont pour but d’augmenter leur volume, 25% sont des réductions mammaires et ce pourcentage croît vite.

Mais pourquoi vos poitrines grossissent, me demande Sam Exite dans son courrier ?

  • Tout d’abord, il y a de plus en plus d’obèses chez les jeunes. Or, nos boîtes à lait sont constituées aux trois-quarts de graisse.
  • Dans notre alimentation, nous sommes plus exposées aux hormones, ce qui déclenche la puberté de plus en plus tôt et une augmentation des paires de roberts de ces demoiselles.
  • Et puis, nos seins seraient de véritables éponges, absorbant les matières toxiques de nos sociétés industrialisées et leur volume enfle avec l’accumulation de produits toxiques qu’on retrouve malheureusement dans le lait maternel.

Mona tout pour en faire, mais elle n’a pas de lait pour vous.

Seincèrement, peut mieux faire !

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Mona vous a dévoilé les mesures intimes des messieurs à travers le monde. Sans être les meilleurs, je crois que nous pouvons pousser un cocorico pour nos performances qui n’altèrent pas notre réputation d’amants quasi parfaits à travers le monde. Alors,cocorico, cocorico !

Par contre, ma chère Mona et vous Mesdames, on ne peut pas être aussi fier de vous. Et oui, il faut l’avouer, la taille de vos seins est certes dans la moyenne, mais peut-on se contenter de cela. Non Mesdames, vous ne portez pas les couleurs de notre pays tout en haut du mât.

Avec des gars bien montés comme nous, peut-on se satisfaire d’un bonnet C alors que les allemandes remplissent des bonnets D quand leurs hommes leur offrent 1.53cm de moins que nous. Et que dire des femmes des pays de l’Est et du Nord qui utilisent des bonnets E et plus, si affinité.

Bon Mona, ne nous fâchons pas, je vous propose un gros ballon ? Oui ? de Côtes du Rhône ! Allez amenez donc deux verres : le domaine Beaucastel vous présente un vin gourmand avec son Nature 2009. Et puis, çà remplit bien la bouche au moins… hein Mona !

http://www.vin-malin.fr/malin-le-guide/grands-vins-du-rhone/chateau-de-beaucastel.htm