See you letter

mona-tricycle

Comme chaque année, notre Journal ne paraît pas durant la période estivale. Vous vous doutez bien qu’à force de se creuser le ciboulot pour satisfaire votre besoin effréné de culture, Lépicurien et moi nous avons les cellules grises aussi vides que le cerveau d’un téléspectateur après son émission de télé-réalité. Aussi pour recharger les batteries, nous fermons boutique.

Mais vous savez, bande de petits veinards que je ne vous abandonne pas. Aussi chaque semaine, malgré la cagnasse et le farniente, je vous adresserai une ou deux cartes postales.

Je vous embrasse et vous souhaite un bon été.

Mona parti sur son tricycle

Une fausse septique ?

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Ce matin, c’est le courrier d’Ella Xatif qui m’a touchée. La pauvrette souffre de constipation et a le bide aussi dur et gros qu’une pissotière six places prise d’assaut par un régiment de parachutistes sortant de la fête de la bière.
Tout d’abord, Ella, vous n’êtes pas un cas isolé. Il y a un max de nanas qui fréquentent rarement les lieux d’aisance et quand elles y séjournent, elles repartent souvent pleines, comme elles sont venues. Aucune production solide. Comme j’suis pas toubib, je ne vais pas me lancer dans les explications physiologiques qui confirment que le sexe faible a le colon, en général (repos, vous pouvez fumer), plus paresseux. Ceux que ça intéresse trouveront toute explications sur la toile.

Je voudrais juste vous rappeler que depuis longtemps, on cherche à combattre cette gêne gastrique. J’en veux pour preuve, ce qui suit : le texte d’une publicité parue dans la presse à la fin du XIX° siècle et un extrait du Bréviaire de la femme par la Comtesse de Tramar paru en1903.

-Vous avez le teint jaunâtre, mal à la tête, mauvaise bouche, la langue chargée, Madame, pas d’appétit, douleurs d’entrailles, et avec cela un caractère irritable à l’excès qui rend la vie odieuse à vous et aux vôtres. C’est la fâcheuse constipation !!! Voulez-vous voir disparaître tout cela ??
Remplacez les purgatifs, pilules, médecines noires et tisanes étrangères par les Bonbons laxatifs de Vichy « Fédit-Comprimés », dont les effets sont doux et durables, parce qu’ils agissent directement sur les intestins et modifient peu à peu les muqueuses en augmentant leur sécrétion. C’est là un des plus grands bienfaits de cette médication nouvelle.

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En cliquant sur l’image, vous pourrez lire dans le texte

-Malgré le plus profond désir de s’immatérialiser, la nature humaine est forcée d’avouer à certaines heures, qu’elle doit se soumettre à des exigences parfois assez tyranniques et imprévues, qu’il lui faut renoncer à l’apparence poétique d’un corps céleste et que la solitude lui devient indispensable.
La régularité de ces habitudes méditatives une des conditions les plus sérieuses de bonne santé et par conséquent de beauté ; lorsque la nature est rebelle au dégagement, le teint devient terreux, un vague malaise se produit, bouleversant l’organisme dans tous ses rouages.
Il faut solliciter tous les jours à la même heure pour obtenir le dégagement nécessaire et forcer la mauvaise volonté à cesser ce rôle de rébellion; presque toujours le résultat est favorable en persévérant.

On peut dire qu’à l’époque la langue était drôlement chiadée. Comment qu’elle parle avec poésie des gogues. Ça sent pas (si j’ose dire) l’écriture sur papier chiottes mais plutôt la calligraphie à l’encre de Chine.

Ella, bien que votre nom puisse vous y pousser (si j’ose dire), évitez les laxatifs qui détruisent à la longue les tuyauteries. Une bonne hygiène de vie, une alimentation à base de fibres et une visite régulière des cagoinces devrait améliorer le transit de votre boyau. Et puis comme dit une copine à moi qu’est constipée, ça l’a bien aidée quand elle a accouché. Poussez, poussez… elle était plus que rodée. La nature est bien faite.

Donc ma chère Ella Xatif, chaque matin, rendez-vous sur votre trône, lisez le billet de notre journal et laissez tomber… Plouf ! Courage et persévérance.

Mona un intestin qui gaze à merveille. Et vous ?

Voulez vous galocher avec moi ce soir ?

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Comme chaque année, au mois de juin, le Petit Robert nouveau déboule en librairie. Dans cette nouvelle édition, j’ai retenu le verbe « galocher » qui se définit par « embrasser avec la langue » ou si vous préférez rouler une pelle, rouler un patin, échanger une langue, faire une langue fourrée, emballer, en rouler un, faire ventouse, lécher ses amygdales…et enfin goinfrage de menteuse avec fourbissage de molaires.

Et c’est vrai que jusqu’à ce jour, il fallait plusieurs mots pour décrire cette spécialité si française que les Anglo-Saxons ont adoptée depuis 1914 : le French Kiss.

Certes, il faudra un peu de temps avant de pouvoir dire à une belle : permettez que je vous galoche. C’est des coups à recevoir une taloche ! Ou alors, il faut s’appeler San-Antonio. Pour le plaisir, un extrait de « des gonzesses comme s’il en pleuvait » :

Je prends sa tête entre mes mains, pose mes lèvres sur les siennes, lui dégoupille l’entrée des artistes du bout de la menteuse pour une visite de politesse. Elle se laisse faire, raide (moins que moi cependant), la respiration calme ; à croire qu’elle subit un traitement en ayant décidé d’être courageuse

Bon Mona, pendant que vous avez la bouche au repos, je vous sers un Château La Mariotte 2008, Saint-Emilion Grand Cru. Cette toute petite propriété est promise à un bel avenir. Encore un peu marqué par son élevage, ce vin gagnera à être encavé deux ou trois ans.

Énervée du frifri

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Décidément la pilule à plaisir déclenché pour dames a du plomb dans l’aile. Déjà un laboratoire allemand a jeté l’éponge et laissé un marché évalué à 2 milliards d’euros par an. Aux States, la Food and Drugs Administration semble très réservée sur les recherches en cours. Selon le site Hot Topics, les effets obtenus sont tellement efficaces que les labos craignent de rendre les femmes nymphomanes. Certains sociologues ont même peur que devenues des chiennes en folie assoiffées de biroute, nos compagnes ne déstabilisent la société.

Mais pourquoi est-il si difficile de donner à maman un petit cacheton qui lui donnerait de l’appétit pour se faire obturer la brèche, jouer avec le tricotin de monsieur sans pour autant porter ses glandes jusqu’à l’incandescence. Bien que je sois aussi scientifique qu’une tenancière de bar servant du pastaga, je me sens capable de vous expliquer le truc.

Pour le viagra pour mecs qu’ont le bâton de zan carbonisé, le principe actif du médoc est simple, il agit sur le flux sanguin et concentre le raisiné du gars dans son appendice à moustaches et provoque le perturbateur de draps de lit qui salue fièrement aux couleurs comme un zouave au milieu de sa caserne. Comme disait l’autre, avaler une pilule bleue, c’est s’assurer d’avoir la sentinelle sur le qui-vive pour pouvoir asperger le persil à maman.

Pour nous les gonzesses, c’est plus complexe. Nous, même si les mecs ne s’intéressent qu’à notre jardin d’Eden gazonné et foufouneux, éventuellement à notre paire de flotteurs, c’est dans la tronche que çà déclenche. Et doser comme il faut pour le plus grand nombre une heure de gymnastique sous baldaquin avec extase incorporée, c’est autrement plus duraille. A ce jour, les femmes, après absorption, deviennent des dévoreuses insatisfaites de fifres à breloques, des mangeuses de scoubidous fouineurs, des essoreuses frénétiques de burnes, des assoiffées bourrées de sirop de mec, des dégorgeuses infatigables de petit chauve à col roulé. Le risque, c’est que les gars, ils hissent le drapeau blanc, qu’ils profitent du mariage pour tous, qu’ils s’exilent à Mykonos de peur de voir leurs roupettes se dessécher comme des raisins de Corinthe.  

Bon, ne souhaitant pas l’apocalypse des parties de jambonneaux, je vous déconseille mes petites sœurs de servir de cobaye à la pilule à plaisir. Utilisez donc les philtres et potions qui illuminent les pages de ce Journal. Mieux vaut un pied de temps à autre que de se faire enfermer avec la langue baveuse, les yeux exorbités et la culotte marécageuse.

Mona pas besoin de tout çà. Qu’on se le dise ! 

La muse m’habite

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Ta tête, ton geste, ton air
Sont beaux comme un beau paysage ;
Le rire joue en ton visage
Comme un vent frais dans un ciel clair.

Le passant chagrin que tu frôles
Est ébloui par la santé
Qui jaillit comme une clarté
De tes bras et de tes épaules.

Les retentissantes couleurs
Dont tu parsèmes tes toilettes
Jettent dans l’esprit des poètes
L’image d’un ballet de fleurs.

Ces robes folles sont l’emblème
De ton esprit bariolé ;
Folle dont je suis affolé,
Je te hais autant que je t’aime !

Quelquefois dans un beau jardin,
Où je traînais mon atonie,
J’ai senti comme une ironie
Le soleil déchirer mon sein ;

Et le printemps et la verdure
Ont tant humilié mon cœur
Que j’ai puni sur une fleur
L’insolence de la nature.

Ainsi, je voudrais, une nuit,
Quand l’heure des voluptés sonne,
Vers les trésors de ta personne
Comme un lâche ramper sans bruit,

Pour châtier ta chair joyeuse,
Pour meurtrir ton sein pardonné,
Et faire à ton flanc étonné
Une blessure large et creuse,

Et, vertigineuse douceur !
A travers ces lèvres nouvelles,
Plus éclatantes et plus belles,
T’infuser mon venin, ma sœur !

« A celle qui est trop gaie » fait partie des six poèmes des Fleurs du mal censurés par le tribunal de Paris en 1857. Il fut publié, en Belgique, dans l’édition des Epaves en 1866. Ces vers ont été écrits en décembre 1852 et adressés anonymement à Madame Apollonie Sabatier. Cette belle femme fut l’amante d’un richissime homme d’affaires. Artiste peintre, elle a plutôt laissé son nom dans l’histoire pour les relations (dans tous les sens du terme) qu’elle noua avec des écrivains, poètes, sculpteurs et peintres. Elle tenait salon et c’est là que Baudelaire la rencontra. Durant près de deux ans, il lui envoya des lettres non signées accompagnées de poèmes. En 1857, au moment de la parution des Fleurs du Mal, il avoue enfin à la belle être l’auteur de ces vers enflammés. En août 1857, ils deviennent amants. C’est la fin d’un amour. Baudelaire écrit :

Il y a quelques jours, tu étais une divinité, ce qui est si commode, ce qui est si beau, si inviolable. Te voilà femme maintenant.

Les entrevues s’espacent, le charme est rompu. A dater de 1862, ils  ne se verront plus.

Bon Mona, ne pensez vos pas qu’il serait temps de s’humecter les amygdales… Que diriez-vous d’un Chianti 2011 du domaine Guicciardini Strozzi. Cette illustre famille toscane produit un vin plaisant à petit prix. Pourquoi s’en priver ?

Mona cale

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Mona à Royaumont

Saint Louis lança les travaux de l’abbaye de Royaumont en 1228. On rapporte qu’il vint souvent sur le chantier et participa même aux travaux en portant pierres et mortier. Il engloutit une véritable fortune pour cette réalisation. De nos jours cet ensemble architectural a encore fière allure bien qu’il reste peu de choses de l’église abbatiale aussi grande qu’un des cathédrales de l’époque et qui fut une des merveilles de l’art gothique.

Il faut dire que la Révolution est passée par là. En 1792, l’édifice religieux est vendu comme bien national à Jean-Joseph Bourguet de Guilhem de Travanet. Autant dire qu’avec un tel blaze, la période est peu avenante et ce d’autant plus que le Marquis avait été le banquier de Marie-Antoinette et était mariée à la fille d’un ministre de Louis XVI. Il utilise les bâtiments pour  y installer une filature de coton et emploie un max de monde.
Mais la Commune de Paris exige que le lieu de culte soit détruit. Afin de montrer sa bonne volonté, l’industriel attelle des bœufs et encercle les colonnes de l’église qui s’effondre. Quel gâchis !

A Paris, Louis IX nous a également laissé la Sainte Chapelle lovée au sein du Tribunal de l’Ile de la Cité. Une visite s’impose pour voir ce magnifique bâtiment qui fut construit pour abriter la « couronne d’épines » ramenée de Jérusalem.

Mona toujours aimé le gothique. Et vous ? 

En chair et en noces

Mona de passage à Worms salue Burtrand
Mona de passage à Worms salue Burchard

Burchard de Worms fut évêque de cette ville allemande aux environs de l’an 1000. Il fut l’un des premiers à rédiger un recueil destiné aux confesseurs pour donner des pénitences égales aux fidèles. Ainsi, il codifia donc les principaux péchés. Dans une thèse sur ce recueil, François Gagnon relève que prés de 30% des péchés répertoriés ont trait à la sexualité, 25% à la sorcellerie ou aux superstitions, 6% pour des excès alimentaires et moins de 3% à l’ivresse. Ça peut faire peur à celles qui sont folles de la messe !

Je vous propose un extrait de ce texte. Mais pour qu’il soit compréhensible par le plus grand nombre, je l’ai traduit en langue vernaculaire.

Ma fille, fais-tu ce que d’autres ont l’habitude de faire : elles prennent un poisson vivant, le rentrent dans leur boîte à ouvrage et le tiennent jusqu’à ce qu’il calanche. Une fois sorti de leur grotte de Vénus, elles font cuire ou griller le poiscaille et le donnent à becqueter à leur bonhomme pour qu’il brûle encore plus d’amour à leur endroit. Dans ce cas, tu feras pénitence aux jours établis.

Un autre ecclésiastique du XIII° siècle rapporte que des femmes chopent trois poissons. Elles s’en glissent un dans la goule, elles en calent un autre sous leurs tétins et glissent le dernier dans leur tirelire gazonnée. Dès qu’ils ont craché leur dernière bulle, les mégères les réduisent en farine et en garnissent nourriture et boisson de leurs gigolos. Ces derniers sont censés avoir le calebard en feu cachant difficilement leur gaule vigoureuse.

Ma fille, fais-tu ce que d’autres ont l’habitude de faire : elles se prosternent, la face contre terre et dressent leur lune dénudée, pointée vers le ciel. Elles demandent à une commère de pétrir sur leur pétard une miche de pain. Cette miche passée au four sera servie à leur voisin de plumard. Cela doit déclencher chez le bougre une envie incontrôlable de tirer une crampette et de mettre au chaud son mandrin rougi.  Si tu as fait ça, tu feras pénitence deux ans aux jours établis.

Ma fille, fais-tu ce que d’autres ont l’habitude de faire : quand elles ont leurs ours, elles utilisent ce raisiné pour en fourrer la bouffe de leur bonhomme ce qui est censé enflammer ses sens et son calbute. Si oui, tu feras pénitence cinq ans aux jours établis.

Ma fille, fais-tu ce que d’autres ont l’habitude de faire : elles se déloquent entièrement et s’enduisent le corps de miel. Puis, elles se roulent longuement sur des grains de blé. Tous les grains qui collent sur leur barbaque, elles les récupèrent religieusement et les placent sur une meule. Tournant la pierre en sens inverse, elles en font une farine dont elles font un pain. Le pauvre gars qui va se taper cette pitance va avoir son zizi-panpan aussi mou qu’un macaroni trop cuit. Son Popaul va être aussi flasque qu’un chamallow prémâché. Le mec a sa poutre qui devient aussi fine qu’une allumette qui ne s’enflammera plus pour aucune nana. Si tu as fait ça, tu feras pénitence quarante jours en mangeant du pain et de l’eau.

As-tu fait ce que certaines femmes ont l’habitude de faire: elles enlèvent leurs vêtements, enduisent de miel tout leur corps nu et se roulent à plusieurs reprises, d’un côté et de l’autre, sur du blé répandu sur un drap étendu à terre ; puis elles recueillent soigneusement tous les grains de blé collés à leur corps humide, placent ces grains dans une meule qu’elles font tourner dans le sens contraire de la marche du soleil ; elles obtiennent ainsi de la farine avec laquelle elles font un pain qu’elles donnent à manger à leur mari. Le pauv’ gars dès qu’il a digéré se retrouve avec un vermicelle de contrebande en lieu et place de sa clarinette baveuse? Si tu as fait cela, tu feras pénitence quarante jours au pain et à l’eau.

Bon les gars, restez vigilants, une simple miche de pain peut éteindre vos miches pour toujours. Alors Mona, que diriez-vous de déguster un Vougeot Clos du Prieuré 2005 (Domaine de la Vougeraie). Au milieu des vignes rouges de la Côte de Nuits, ce rare vin blanc est extraordinaire. Surement un péché de gourmandise. 

Mélampe … berger

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Lépicurien et vous, belle Mona source de tant de rêves agités,
Vos textes sont tellement foldingues que vous devriez faire une cure de mélampodium.
Voilà ce que me dit Igor Gonzola. 

Hola, le Rital (je suppose avec un tel blaze), qu’il n’apprécie pas mon humour, ça le regarde, mais qu’il m’envoie chez les fous, ça non ! Et puis pour sortir des trucs pareils, je suppute (y’a pas de sot métier), Igor d’être carabin ou toubib. En effet, à part moi, les docs et les pharmacos, qui connait le lien entre mélampodium et folie ?

Aussi, mon vieux Igor, permettez moi d’expliquer la chose à mes lecteurs chéris. Pour comprendre, il faut explorer la mythologie grecque. Mélampe poète, musicien, berger et médecin remarqua que ses chèvres se purgeaient en mangeant des plantes répondant au joli nom d’ellébore. Or les filles de Proteus, roi d’Argos, voulant devenir plus belles que Junon, tombèrent folles. Elles erraient se prenant pour des vaches, mugissant et beuglant comme des veaux privés de lolo. Mélampe leur donna du lait de ses chèvres après qu’elles aient mangé l’herbe susnommée. Puis il les envoya se baigner dans une fontaine d’Arcadie,  au nom fort engageant : la fontaine Clitorienne. Et miracle, elles furent guéries. Mélampe, protecteur des curistes, devint un héros ; on donna son nom à la plante miracle qu’on croise toujours dans nos jardins sous le nom de mélampodium. Le roi Proteus lui donna une des ses filles. Il reçut une partie du royaume de son beau-papa. Et comme on dit dans ce genre de circonstance, ils vécurent longtemps et eurent beaucoup d’enfants.

Quant à la fontaine Clitorienne, bien que son nom soit plaisant, elle ne m’attire pas. En effet, toute personne qui boit de son eau sera dégoûtée à jamais des plaisirs du vin. Donc, ne vous attendez pas à me voir en Arcadie.

Alors tu vois mon petit Igor, comment avec ton attaque de bas étage, je retourne la situation et te sors une page culturelle de haut niveau. Avoue que ça calme. Tu peux continuer à rêver.

Bon allez sans rancune… Je vous laisse, je vais planter des mélampodium.

Mona besoin d’aide pour arroser son gazon. Y-a-t-il un volontaire ?