Les bourses au plus bas

Décidément, mes petites chattes, vous êtes formidables. Si, si, j’insiste. Tenez par exemple, j’ai reçu un courrier de Justine Petitegoute qui me signale la publication d’une nouvelle étude sur un sujet qui nous préoccupe depuis longtemps : la diminution du nombre de spermatozoïdes. Il y a de quoi s’inquiéter car non seulement, c’est la reproduction même de l’espèce qui est en jeu, mais c’est également une diminution de moments de tendresse qui nous attend nous, pauvres femmes. En effet, si nos hommes ont les valseuses qui contiennent de moins en moins de béchamel, de crème fouettée ou d’écume blanche, ils seront moins enclins à nous rincer la cuvette ou à cracher dans le bénitier à maman. Et çà, c’est pas bon pour nous.

Personnellement, me dit Justine, j’ai pas envie de me contenter des joujoux si en vogue auprès de mes copines (de cheval ?). Ces fausses clarinettes à perruque ne sont que des pis-aller et ne sauraient contenter des filles roulées au moule comme moi. Alors, après avoir milité pour sauver les baleines, les ours et les dauphins, je vous propose, Mona, de lancer un S.O.S pour nos Jules…

Justine, votre idée est magnifique : sauver l’homme, lui rendre sa fierté en lui laissant suffisamment de bouillon génératif dans les bibelots pour nous arroser régulièrement le gazon sans risquer de les assécher ou pis de provoquer une pénurie qui nous empêcherait de faire de beaux lardons pour que l’humanité perdure. Concrètement, je ne sais pas encore ce que je peux faire, mais je vais y réfléchir et vous tiendrai informée de mes recherches.

Mona plus de mal avec ses actions en bourse qu’à mettre les bourses en action. Bizarre, non ?

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