Un goût à mère

Merci au lecteur qui nous a envoyé cette information suite à la lecture de l’article « sein plait« .

Nous sommes à la barre d’un tribunal. Le juge s’adresse à une femme d’une quarantaine d’année qui semble comme absente dans cette ambiance judiciaire. Le juge s’adresse à elle pour lui rappeler les faits :

-Madame, Votre fils dégrafait votre corsage et exposait au yeux de tous votre poitrine dans un parc municipal pour s’agripper à votre sein et en tirer le lait. Vous allez me dire « et, alors ? ». Bien sûr, rien de plus naturel, me direz-vous. … Mais je me dois de vous préciser, Madame, que votre garçon est âgé de 20 ans !

-Et alors, Monsieur le juge, il a le droit, c’est mon fils.

Au cours de l’audience, la plaidoirie de l’avocat est un petit bijou. Jugez plutôt :

-N’oubliez pas, Monsieur le Président, que l’allaitement symbolise l’éternelle jeunesse puisée dans le corps de la femme. Sucer le lait à même le sein de sa mère, c’est s’approprier sa substantielle moelle vitale. Et puis, n’est ce pas le signe d’un amour filial ? Aussi, je vous demande, Monsieur le Président, de relaxer ma cliente qui n’a fait que son devoir de mère.

Mona, je pourrais vous proposer un Sein-Emilion ou un Sein-Pour-Sein, mais je n’en ferai rien. Nous boirons un Montravel : Château Moulin Caresse 2008, cuvée Magie d’automne. Un joli vin blanc pur comme du lait maternel. N’est-il point Mona ?