Un journal au poil

mona-sheila

Vous savez que j’ai eu la chance que le Père Noël m’emmène sous les tropiques pour un séjour de rêve après le froid du Grand Nord et la fatigue des fêtes.

Pour bronzer convenablement, il vaut mieux s’installer confortablement et siroter un coup pour supporter le cagnard qui colore si bien ma peau. Mais au bout d’un temps d’inaction complète, mes méninges appellent au secours. Le repos complet pour une fille aussi vive, intelligente que moi, ce n’est pas possible. Il faut nourrir ma matière grise. Mais quand on est dans un coin paradisiaque loin de tout, difficile de trouver lecture récente et intéressante. Et je n’échappe pas à la règle. Un vieux Salut les Copains traîne sur une table. Sheila y est en couverture. Chouette, ça ne rajeunit pas, mais ça met des mélodies des années 60 et 70 dans la tronche.

« L’école est finie, les Rois Mages, Vous les copains, je ne vous oublierai jamais »… En feuilletant les pages de ce numéro culte, je tombe sur un document rare qui évoque cette période du yé-yé. Vous voulez partager ce moment d’émotion avec moi, cliquez sur le Salut les Copains de la photo ci-dessus et vous découvrirez devant vos yeux émerveillés des tresses de toute beauté comme au bon vieux temps du twist. Un grand moment  à ne pas rater.

Mona pas une pilosité suffisante pour réaliser un tel chef d’œuvre… Dommage ?